Le dialogue intérieur d’une femme, percé de déflagrations, intimes et collectives, de silences et de paroles qui se font jour, dans les nuits muettes et les traces indélébiles d’une guerre et d’une tragédie sans nom.
Il souffle sur «Houris» ce cri étouffé sur les plaies béantes de la décennie noire Algérienne, la métaphore tranchante d’éclats comme de lyrisme noir de toute une nation, le sourire et la balafre.
Un texte bouleversant, brûlant, intensément viscéral, qui sondent les âmes et l'oubli, les voiles qui enserrent les mémoire, dans une langue puissante des paysages qu'elle déterre et qu'elle évoque, de voix qui s'extraient de monceaux de lambeaux.
Peut être le grand roman de Kamel Daoud, définitivement nécessaire et important pour ce qu’il constitue de mémoire et de résistance, de transmission comme de liberté à attraper, d'espoir à entrevoir.
Le dialogue intérieur d’une femme, percé de déflagrations, intimes et collectives, de silences et de paroles qui se font jour, dans les nuits muettes et les traces indélébiles d’une guerre et d’une tragédie sans nom.
Il souffle sur «Houris» ce cri étouffé sur les plaies béantes de la décennie noire Algérienne, la métaphore tranchante d’éclats comme de lyrisme noir de toute une nation, le sourire et la balafre.
Un texte bouleversant, brûlant, intensément viscéral, qui sondent les âmes et l'oubli, les voiles qui enserrent les mémoire, dans une langue puissante des paysages qu'elle déterre et qu'elle évoque, de voix qui s'extraient de monceaux de lambeaux.
Peut être le grand roman de Kamel Daoud, définitivement nécessaire et important pour ce qu’il constitue de mémoire et de résistance, de transmission comme de liberté à attraper, d'espoir à entrevoir.