Études françaises. Volume 11, numéro 1, février 1975. Le fragment, la somme

Par : Robert Melançon, Françoise Siguret, Charlotte Melançon, Pierre Nepveu
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages100
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-7606-5347-4
  • EAN9782760653474
  • Date de parution11/06/2025
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille12 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurLes Presses de l’Université de M...

Résumé

Tous les livres du monde sont l'ouvre d'un seul et même écrivain, disait Borges. Dans les livres de l'« essayiste » Michel Butor, dans ceux du « poète » Michel Beaulieu, il y a quelque chose qui est de la même main : c'est la composition du recueil, savant travail de « montage » qui opère sur des fragments. Ces fragments, les lier sans les unir. Travailler sur ce qui, dans le texte, est à la fois ciment et cassure, point de fuite et seul vrai sujet : le blanc.
Tel est le problème de l'ouvre ouverte, qu'à travers les siècles l'Écrivain cherche à résoudre, et que la main soit celle d'Agrippa d'Aubigné, de Scève, de Claudel, de Butor ou de Beaulieu.
Tous les livres du monde sont l'ouvre d'un seul et même écrivain, disait Borges. Dans les livres de l'« essayiste » Michel Butor, dans ceux du « poète » Michel Beaulieu, il y a quelque chose qui est de la même main : c'est la composition du recueil, savant travail de « montage » qui opère sur des fragments. Ces fragments, les lier sans les unir. Travailler sur ce qui, dans le texte, est à la fois ciment et cassure, point de fuite et seul vrai sujet : le blanc.
Tel est le problème de l'ouvre ouverte, qu'à travers les siècles l'Écrivain cherche à résoudre, et que la main soit celle d'Agrippa d'Aubigné, de Scève, de Claudel, de Butor ou de Beaulieu.
Pour une poésie impure
Robert Melançon
E-book
13,99 €