Vive la France. Regards croisés sur l'union du Comté de Nice à la France (1860-1947)

Par : Christian Nique, Madeleine Servera-Boutefoy

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  • Nombre de pages175
  • PrésentationBroché
  • Poids1.535 kg
  • Dimensions24,5 cm × 34,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-86410-537-4
  • EAN9782864105374
  • Date de parution23/06/2010
  • ÉditeurSerre Editeur

Résumé

"Sire, Madame, J'ai l'honneur de vous présenter le conseil municipal de Villefranche. La population de cette ville est heureuse et fière que ses représentants soient admis les premiers à saluer la bienvenue des Souverains de leur choix dans le département des Alpes-Maritimes. Je me félicite de pouvoir vous exprimer ma reconnaissance et mon dévouement. Sire, Villefranche a formulé le voeu, à l'unanimité, de rentrer dans le sein de la nation française. Ce vote est le premier dont les résultats soient parvenus à Monsieur le Sénateur qui remplit si dignement sa mission. Mes administrés ont aussi témoigné combien ils partageaient l'admiration et les sympathies du monde civilisé pour l'Elu de quatre-vingt-six départements. Ils partagent aussi, Madame, la respectueuse émotion qui inspire partout la présence de votre Majesté, dont le nom est devenu symbole de grâce et de bonté. Les coeurs s'associent à votre sollicitude maternelle et ils regrettent de ne pouvoir acclamer à vos côtés le Prince Impérial en qui repose l'avenir de la dynastie impériale. Vive l'Empereur ! Vive l'Impératrice ! Vive le Prince Impérial !".
"Sire, Madame, J'ai l'honneur de vous présenter le conseil municipal de Villefranche. La population de cette ville est heureuse et fière que ses représentants soient admis les premiers à saluer la bienvenue des Souverains de leur choix dans le département des Alpes-Maritimes. Je me félicite de pouvoir vous exprimer ma reconnaissance et mon dévouement. Sire, Villefranche a formulé le voeu, à l'unanimité, de rentrer dans le sein de la nation française. Ce vote est le premier dont les résultats soient parvenus à Monsieur le Sénateur qui remplit si dignement sa mission. Mes administrés ont aussi témoigné combien ils partageaient l'admiration et les sympathies du monde civilisé pour l'Elu de quatre-vingt-six départements. Ils partagent aussi, Madame, la respectueuse émotion qui inspire partout la présence de votre Majesté, dont le nom est devenu symbole de grâce et de bonté. Les coeurs s'associent à votre sollicitude maternelle et ils regrettent de ne pouvoir acclamer à vos côtés le Prince Impérial en qui repose l'avenir de la dynastie impériale. Vive l'Empereur ! Vive l'Impératrice ! Vive le Prince Impérial !".