Violences et corps des femmes du tiers-monde. Le droit de vivre pour celles qui donnent la vie
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- Nombre de pages286
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.34 kg
- Dimensions13,6 cm × 21,5 cm × 2,2 cm
- ISBN2-7475-1732-2
- EAN9782747517324
- Date de parution01/11/2003
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La moitié des mères du Tiers-Monde accouchent encore à domicile sans aucune assistance compétente. Il n'y a pas d'argent pour aider à la transmission de la Vie dans les régions o0 les femmes sont accusées d'avoir trop d'enfants. Par contre, pour mettre sur pied des programmes eugéniques destinés à les empêcher d'en avoir, l'argent arrive à flots, pour diffuser des méthodes inconnues en France, le Dépo-provera et la Norplant, et expérimenter des " vaccins anti-grossesse " et une méthode de stérilisation chimique " à la Quiliacrine, méthodes qui violent les règles les plus élémentaires de la bioéthique médicale.
Pendant ce temps, la fécondité a tellement chuté sur le plan mondial, que le nombre moyen d'enfants par femme n'est plus que de 2,6. La troisième et la quatrième partie de ce livre abordent les violences faites au corps de la femme en tant qu'objet sexuel du viol légal de la " nuit de noces " aux viols camouflés en promesse de mariage, car il n'y a pas que les viols de guerre et les kidnappings, sans oublier les mutilations génitales féminines.
Mais les victimes se taisent. Et c'est un viol permanent que subissent celles dont le corps est vendu sur le marché de la prostitution, cette marchandisation humaine est une telle source de bénéfices que ses prompteurs font tout pour légaliser ce qu'ils appellent " l'industrie du sexe " et faire reconnaître les femmes prostituées en tant que " travailleuses du sexe ". Dans cette quatrième partie, il est aussi question de la pornographie, et du corps féminin vendu en pièces détachées, du trafic des ovules aux locations d'utérus.
La cinquième partie pourrait être une conclusion élargie elle a pour thème ce qui est peut-être la pire des violences après des millénaires d'absence totale d'alphabétisation, remplacée par une éducation musclée basée sur la soumission, les femmes du Sud subissent la violence de la "déscolarisation" victimes du FMI, qui exige des pays pauvres qu'ils fassent des économies sur la santé et l'école. Puisse ce cri de colère être entendu par celles et ceux qui ont eu la chance d'aller à l'école.
La moitié des mères du Tiers-Monde accouchent encore à domicile sans aucune assistance compétente. Il n'y a pas d'argent pour aider à la transmission de la Vie dans les régions o0 les femmes sont accusées d'avoir trop d'enfants. Par contre, pour mettre sur pied des programmes eugéniques destinés à les empêcher d'en avoir, l'argent arrive à flots, pour diffuser des méthodes inconnues en France, le Dépo-provera et la Norplant, et expérimenter des " vaccins anti-grossesse " et une méthode de stérilisation chimique " à la Quiliacrine, méthodes qui violent les règles les plus élémentaires de la bioéthique médicale.
Pendant ce temps, la fécondité a tellement chuté sur le plan mondial, que le nombre moyen d'enfants par femme n'est plus que de 2,6. La troisième et la quatrième partie de ce livre abordent les violences faites au corps de la femme en tant qu'objet sexuel du viol légal de la " nuit de noces " aux viols camouflés en promesse de mariage, car il n'y a pas que les viols de guerre et les kidnappings, sans oublier les mutilations génitales féminines.
Mais les victimes se taisent. Et c'est un viol permanent que subissent celles dont le corps est vendu sur le marché de la prostitution, cette marchandisation humaine est une telle source de bénéfices que ses prompteurs font tout pour légaliser ce qu'ils appellent " l'industrie du sexe " et faire reconnaître les femmes prostituées en tant que " travailleuses du sexe ". Dans cette quatrième partie, il est aussi question de la pornographie, et du corps féminin vendu en pièces détachées, du trafic des ovules aux locations d'utérus.
La cinquième partie pourrait être une conclusion élargie elle a pour thème ce qui est peut-être la pire des violences après des millénaires d'absence totale d'alphabétisation, remplacée par une éducation musclée basée sur la soumission, les femmes du Sud subissent la violence de la "déscolarisation" victimes du FMI, qui exige des pays pauvres qu'ils fassent des économies sur la santé et l'école. Puisse ce cri de colère être entendu par celles et ceux qui ont eu la chance d'aller à l'école.