Nathalie Sarraute connue aussi sous le nom de Natalie Tcherniak est née en juillet 1900 en Russie et est morte à Paris en octobre 1999. D’origine russe, cette écrivaine française est la mère de la photographe Dominique Sarraute, de la journaliste et romancière Claude Sarraute et de la rédactrice Anne Sarraute. Nathalie Sarraute a fait des études en anglais, en sociologie et en droit. Avocate au barreau de Paris dès l’âge de 25 ans, elle découvre la littérature en compagnie de Proust, Virginia Woolf et James Joyce.
Cet amour soudain pour la littérature va lui valoir la publication de nombreuses œuvres. Le livre « Enfance » est l’un de ses ouvrages les plus célèbres. Ce roman autobiographique raconte l’enfance de Nathalie Sarraute, ses rapports avec ses parents. Avec sincérité elle dévoile un période difficile de sa vie, partagée entre la Russie et la France. C’est un livre passionnant et émouvant que vous aimeriez lire.
« Le Planétarium » est l’une de ses toutes premières œuvres. Publié en 1959 aux éditions Gallimard, Nathalie, sur un ton ironique mordant et grinçant, dénonce dans cet ouvrage l’idolâtrie propre au clan de Sartre. Ne perdez plus un instant et lisez ce livre, un feuilleton sur notre histoire commune.
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- Nombre de pages89
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.08 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-7073-2146-6
- EAN9782707321466
- Date de parution05/04/2012
- CollectionDouble
- ÉditeurMinuit (Les Editions de)
Résumé
Les tropismes, a expliqué l'auteur, "ce sont des mouvements indéfinissables, qui glissent très rapidement aux limites de notre conscience ; ils sont à l'origine de nos gestes, de nos paroles, des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu'il est possible de définir". Vingt-quatre petits tableau…
Les tropismes, a expliqué l'auteur, "ce sont des mouvements indéfinissables, qui glissent très rapidement aux limites de notre conscience ; ils sont à l'origine de nos gestes, de nos paroles, des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu'il est possible de définir". Vingt-quatre petits tableaux d'oscillations intérieures presque imperceptibles à travers clichés, lieux communs et banalités quotidiennes : vingt-quatre petits récits serrés, où il n'y a plus de trame alibi, plus de noms propres, plus de "personnages", mais seulement des "elle" et "il", des "ils" et "elles", qui échangent leur détresse ou leur vide au long de conversations innocemment cruelles ou savamment féroces.
(...) Textes très courts où une conscience jamais nommée, simple référence impersonnelle, s'ouvre ou se rétracte à l'occasion d'une excitation extérieure, recevant la coloration qui permet de l'entrevoir. Gaëtan Picon. "Mon premier livre contenait en germe tout ce que, dans mes ouvrages suivants, je n'ai cessé de développer. Les tropismes ont continué d'être la substance vivante de tous mes livres".
Nathalie Sarraute, préface à L'Ere du soupçon, Gallimard, 1964. Initialement publié par Denoël en 1939, le premier livre de Nathalie Sarraute (1900-1999) est paru aux Éditions de Minuit en 1957, dans une nouvelle version où l'auteur avait retranché un chapitre pour en ajouter six nouveaux.
(...) Textes très courts où une conscience jamais nommée, simple référence impersonnelle, s'ouvre ou se rétracte à l'occasion d'une excitation extérieure, recevant la coloration qui permet de l'entrevoir. Gaëtan Picon. "Mon premier livre contenait en germe tout ce que, dans mes ouvrages suivants, je n'ai cessé de développer. Les tropismes ont continué d'être la substance vivante de tous mes livres".
Nathalie Sarraute, préface à L'Ere du soupçon, Gallimard, 1964. Initialement publié par Denoël en 1939, le premier livre de Nathalie Sarraute (1900-1999) est paru aux Éditions de Minuit en 1957, dans une nouvelle version où l'auteur avait retranché un chapitre pour en ajouter six nouveaux.
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