Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Nul n'ignore que la science a longtemps été le domaine exclusif d'Homo mathematicus, que les femmes savantes sont ridicules et que les ingénieures
ne...
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Livré chez vous entre le 22 novembre et le 26 novembre
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Résumé
Nul n'ignore que la science a longtemps été le domaine exclusif d'Homo mathematicus, que les femmes savantes sont ridicules et que les ingénieures
ne sont pas légion. Mais si les sciences dures marchent à la testostérone, c'est aussi que leur histoire a été écrite par des hommes, attentifs à prouver par X + Y que les femmes sont génétiquement incapables de rigueur logique et
d'abstraction. Pour en finir avec cette histoire truquée où les femmes sont soit des curiosités de la nature, soit des muses, soit des potiches, l'auteur a préféré le mode de l'anecdote à celui de la grande synthèse théorique. De la femme de Cro-Magnon à Dian Fossey en passant par Émilie du Châtelet et Ada Lovelace, les héroïnes célèbres côtoient des inconnues non moins illustres, toutes témoignant de l'omniprésence des femmes au cœur de la science. Ni pamphlet féministe, ni évaluation paternaliste de l'apport scientifique des femmes, cette galerie de portraits montre que la science a simultanément
joué un rôle dans leur émancipation et dans leur marginalisation. Une façon pertinente et drôle de remettre à leur place les mythes sexistes qui voilent
durablement, au préjudice de tous, la moitié féminine de la science.