Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Joseph Aloys Schumpeter reste l'une des figures les plus marquantes de la théorie économique du 20e siècle. Sa pensée semble aujourd'hui faire l'objet...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 23 novembre et le 26 novembre
En librairie
Résumé
Joseph Aloys Schumpeter reste l'une des figures les plus marquantes de la théorie économique du 20e siècle. Sa pensée semble aujourd'hui faire l'objet d'un réel regain d'intérêt, comme le montrent les références nombreuses à cet auteur dès qu'il s'agit d'évoquer des problèmes liés à la croissance, aux cycles ou encore aux innovations technologiques. Mais un constat s'impose : L'héritage de Schumpeter repose à l'heure actuelle exclusivement sur la dimension réelle de sa théorie, à savoir, sur le rôle de l'innovation et de l'entrepreneur. En revanche, sa contribution à l'analyse monétaire demeure plutôt méconnue. Pourtant, une lecture attentive de son ouvre tend à faire ressortir l'intérêt que l'économiste portait à la monnaie et montre à quel point sa réflexion sur l'évolution capitaliste était indissociable de cet élément. Ainsi, Schumpeter a consacré une part non négligeable de sa carrière à la rédaction d'un traité sur la monnaie, demeuré inachevé, mais ayant fait l'objet d'une publication posthume partielle en allemand, en 1970, sous le titre Das Wesen des Geldes. Grâce à la traduction française que nous proposons aujourd'hui dans une version complète, nous espérons " rééquilibrer " l'héritage intellectuel de Schumpeter et faire découvrir un aspect négligé, mais pourtant stimulant de sa pensée, eu égard aux idées originales et novatrices qu'elle contient. En effet, loin d'être une simple curiosité de son œuvre, ce livre renferme la tentative la plus tenace de construire une analyse de l'économie dont le point de départ est l'institution monétaire. Selon Schumpeter, la monnaie est avant tout une " comptabilité sociale ", qui enregistre et organise les activités économiques et dont les éléments les plus significatifs sont les banques et le crédit. Ainsi entendue, la monnaie est l'hypothèse institutionnelle minimale qu'il faut poser pour comprendre le fonctionnement d'une économie en perpétuel changement.