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" Admirons la poésie coranique, dans l'extrême variété sensible à laquelle atteint une langue pourtant archaïque, admirons le jaillissement des sourates apocalyptiques ou des menaces divines, le vertige ou la douceur des versets mystiques, la mélodie où bruissent les arbres du paradis, les singuliers serments qui convoquent les météores, les anges, les nombres et les 'a astres. " écrit Michel Orcel, traducteur, poète et écrivain qui, loin des traductions jargonnantes, a voulu rendre justice dans notre langue à la beauté du Texte saint en " claire langue arabe ".