Paristanbul. Paris Et Les Ecrivains Turcs Au Xxeme Siecle

Par : Halil Gokhan, Collectif, Timour Muhidine
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  • Nombre de pages267
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-910435-81-4
  • EAN9782910435813
  • Date de parution16/06/2000
  • Collectionbalkaniques
  • ÉditeurEsprit Des Peninsules (l')

Résumé

Les écrivains turcs parcourent Paris depuis un siècle et demi : acharnés de la Ville-lumière, orphelins d'une grande culture méconnue en Occident, flâneurs, piétons, clients aisés de la Closerie des Lilas et du Select ou habitués de la Bohème, leurs rêves poursuivent la seule capitale capable de rivaliser avec Istanbul. Entichés de Verlaine, de Gide ou de Sartre, ils bâtissent, une fois encore, au nom des aller-retours réels et imaginaires et des couloirs souterrains de la conscience, le mythe triomphant : Paris sur Bosphore ou Istanbul sur Seine. " Jusqu'au crépuscule, nous avons longuement parlé de la vie, du suicide, de Nietzsche, de Kierkegaard et de Sartre. A la tombée de la nuit nous sommes allés au Club Falstaff, rue du Montparnasse. Nous y avons bu du rhum et du calvados. Plus tard - la nuit était tombée - nous avons marché jusqu'à la Trinité. Quelle belle journée ! " (Journal de Paris, Demir Özlü)
Les écrivains turcs parcourent Paris depuis un siècle et demi : acharnés de la Ville-lumière, orphelins d'une grande culture méconnue en Occident, flâneurs, piétons, clients aisés de la Closerie des Lilas et du Select ou habitués de la Bohème, leurs rêves poursuivent la seule capitale capable de rivaliser avec Istanbul. Entichés de Verlaine, de Gide ou de Sartre, ils bâtissent, une fois encore, au nom des aller-retours réels et imaginaires et des couloirs souterrains de la conscience, le mythe triomphant : Paris sur Bosphore ou Istanbul sur Seine. " Jusqu'au crépuscule, nous avons longuement parlé de la vie, du suicide, de Nietzsche, de Kierkegaard et de Sartre. A la tombée de la nuit nous sommes allés au Club Falstaff, rue du Montparnasse. Nous y avons bu du rhum et du calvados. Plus tard - la nuit était tombée - nous avons marché jusqu'à la Trinité. Quelle belle journée ! " (Journal de Paris, Demir Özlü)