Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Après Eschyle (les Sept contre Thèbes) et Sophocle (Œdipe-Roi) Euripide, à son tour, entreprend de réécrire le mythe thébain. Mais il le fait au...
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Livré chez vous entre le 26 novembre et le 27 novembre
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Résumé
Après Eschyle (les Sept contre Thèbes) et Sophocle (Œdipe-Roi) Euripide, à son tour, entreprend de réécrire le mythe thébain. Mais il le fait au jour de la crise où s'abîme la démocratie athénienne, dans le moment de la guerre du Péloponnèse. Le théâtre, ici, est politique : les conflits de la famille sont immédiatement ceux du pouvoir ; la figure singulière d'Œdipe est reléguée par le destin de la communauté, que hante l'imminence de la guerre civile. Autrement dit, la cité est l'unique espace de jeu. Mais celui-ci s'ouvre, il donne la parole au frère exclu, à la vieille Jocaste, au jeune prince sacrifié, aux Phéniciennes migrantes sur la question radicale de ce qui fonde la cité. La présente traduction est inédite. Elle fut à l'origine écrite pour la scène : Les Phéniciennes furent montées en 1982, sous la direction de Michel Deutsch et de Philippe Lacoue-Labarthe, au Théâtre National de Strasbourg. Son parti pris - qui s'inspire, toutes proportions gardées, de celui de Hölderlin traduisant Sophocle - est le parti pris de la littéralité, agirait-elle, à la limite, contre l'usage de notre langue. Mais Euripide est notre contemporain.