Après mon coup de cœur pour « Le Tatoueur d’Auschwitz », j’étais impatiente de découvrir l’histoire de Cilka. Ce récit est pour moi particulier, un mélange de vérité et de fiction qui permet aux lecteurs du monde entier de découvrir l’histoire d’une jeune fille de 16 ans qui à travers des épreuves inimaginables, passant d’un enfer à un autre tout en se sacrifiant pour aider ses amis et survivre. A lire pour les informations complémentaires sur les goulags, les descriptions, les informations sur le typhus… J’ai peu de lectures sur les goulags ou du moins peu qui donnent
autant d’informations, j’espère que le dernier roman de Heather Morris sera également traduit en français.
Basé sur le témoignage direct de Lale Sokolov et de personnes qui ont côtoyé Cecilia Klein.
Camp de concentration d’Auschwitz, 27 janvier 1945.
Les Soviétiques sont arrivés au camp. Cilka a l’espoir de goûter enfin à la liberté.
Février 1945.
Interrogée par l’agence soviétique, Cilka est accusée de s’être prostituée avec l’ennemi et d’être une espionne. C’est dans une prison de Cracovie que son destin est scellé, quinze ans d’internement au goulag de Vorkouta, en Sibérie. D’une prison à l’autre, Cilka atterrit dans un autre enfer… Celui de Staline.
Le cauchemar recommence. Dans un wagon à bestiaux, Cilka se jure de ne jamais se retrouver dans un endroit comme le block 25. Ses amies lui manquent, sont-elles toujours en vie ?
Elle veut oublier son passé mais celui-ci va la rattraper. Cilka se souvient du début de son enfer à Auschwitz-Birkenau, c’était en 1942. Elle était avec sa sœur Magda, la sélection, le regard de l’officier Schwarzhuber, la première rencontre du tatoueur d’Auschwitz et de Gita, leur amitié, son affectation à l’administration… Elle a vu et subit tant de choses à seulement 16 ans.
Chef du Block 25, Cilka a assisté impuissante à la dernière nuit des déportés avant les chambres à gaz.
Si le passé de Cilka venait à être découvert, quel sort réserverait-on à celle qui a eu des relations avec l’ennemi même si c’était des viols ?
Dans le goulag de Vorkouta, Cilka explique comment rester en vie à Josie. Ici, elles ont aussi droit à toute l’horreur du sadisme, se déshabiller devant des hommes, être choisie par l’un d’eux, être tondue… Cilka et Josie n’ont pas vécu un jour dans le camp qu’elles ont déjà chacune un protecteur. Ici, il n’y a pas de chambres à gaz mais les viols, la violence…
Quand Josie est blessée, elles découvrent l’hôpital et grâce à sa facilité d’adaptation et à son sens de la survie, Cilka se voit proposer un poste à l’infirmerie.
Comme à Birkenau, Cilka a un statut de privilégiée qui causera bien des tensions avec ses camarades. Les viols quotidiens avec les Russes et le fait que Cilka les accepte sans protester est source de conflits avec Josie. De même que son passé est connu d’Hannah, une résistante polonaise. Sa survie dans le camp dépend uniquement d’elle. Tout comme Gita, Cilka va trouver l’amour au milieu de la violence, de l’horreur. Un amour qui la confortera dans son désir de se battre pour sa liberté.
Quand vous avez commis l’impensable, vous êtes prête à tout endurer.
Survivante de Birkenau, Cilka survivra-t-elle à 15 ans de goulag ?
Sa ténacité lui permettra-t-elle de cacher son secret ?
Peu de déportés au goulag connaissaient l’existence des camps de concentration et ce qui s’y passait. Ce qu’elle a vécu à Birkenau, personne ne la croirait.
Entrecoupé des souvenirs au camp d’Auschwitz-Birkenau, Cilka dévoile des bribes de sa vie, des choix qu’elle a du faire pour rester en vie.
Au goulag, elle croise Alexandr, le coursier et se demande si le bonheur lui est possible à elle après tout ce qu’elle a du faire.
Tel Lale, Cilka est déterminée à aider ses amies et se pose des questions sur certaines choses.
La vie de Cilka est remplie d’horreurs. Comment réussir à vivre après avoir vécu l’impensable ?
Où vont les enfants des viols commis par les Russes ?
Pourquoi laissent-on mourir des prisonniers en ne leur donnant aucun traitement ?
Le fonctionnement du goulag est plus complexe que ce qu’il y paraît et comme partout survivre à un prix.
Après avoir tout perdu, Cilka pourra-t-elle s’en sortir ?
Comment réapprendre à vivre avec tout ce qu’elle a enduré ?
L’amour pourra-t-elle la sauver des cauchemars qui ne cesseront de la hanter ?
Contrairement au précédent tome, l’auteur a dû se baser uniquement sur des recherches. L’histoire entre Cilka et Alexandr démarre vers plus de la moitié du livre. L’histoire de Cilka n’est que déportation, emprisonnement, choix et survie, la survie dans un goulag.
Ce livre raconte l’histoire d’une jeune fille de 16 ans qui a vu mourir toute sa famille et qui passe d’un enfer à un autre. Son instinct de survie et sa détermination seront sa force.
Après avoir vécu le pire, Cilka peut tout endurer même l’inadmissible.
Si Auschwitz était l’enfer, le goulag n’en est pas moins une prison des plus sordides, enfouie en Sibérie pour être oubliée aux yeux de tous.
Tout comme Auschwitz, on voit qu’ils deviennent invisibles, oubliés aux confins de la Sibérie.
Pourquoi Cilka a dû être punie si durement pour avoir choisie de vivre ?
Une histoire de courage, de compassion et d’amitié où l’on faisait ce qu’il fallait pour survivre.
Pour la majorité, Cilka a couché avec l’ennemi mais tout ce qu’on se dit c’est que c’était des viols et ce sujet reste malgré tout tabou. Il n’y a que récemment qu’on en parle ouvertement, sans minimiser, sans dire c’était la guerre.
Tout au long de sa détention en Sibérie, Cilka a mérité sa survie et sa liberté. D’infirmière à ambulancière, elle a été un ange pour tous ceux qui ont croisé son chemin.
Aujourd’hui, elle serait considérée comme une héroïne, grâce à toutes ses épreuves, elle a trouvé le bonheur et l’amour avec Alexandr.
Lale dira : « Elle était la personne la plus courageuse que j’ai jamais connue ».
Le récit incroyable d'une jeune fille de 16 ans du camp d'Auschwitz au goulag de Sibérie !
Après mon coup de cœur pour « Le Tatoueur d’Auschwitz », j’étais impatiente de découvrir l’histoire de Cilka. Ce récit est pour moi particulier, un mélange de vérité et de fiction qui permet aux lecteurs du monde entier de découvrir l’histoire d’une jeune fille de 16 ans qui à travers des épreuves inimaginables, passant d’un enfer à un autre tout en se sacrifiant pour aider ses amis et survivre. A lire pour les informations complémentaires sur les goulags, les descriptions, les informations sur le typhus… J’ai peu de lectures sur les goulags ou du moins peu qui donnent autant d’informations, j’espère que le dernier roman de Heather Morris sera également traduit en français.
Basé sur le témoignage direct de Lale Sokolov et de personnes qui ont côtoyé Cecilia Klein.
Camp de concentration d’Auschwitz, 27 janvier 1945.
Les Soviétiques sont arrivés au camp. Cilka a l’espoir de goûter enfin à la liberté.
Février 1945.
Interrogée par l’agence soviétique, Cilka est accusée de s’être prostituée avec l’ennemi et d’être une espionne. C’est dans une prison de Cracovie que son destin est scellé, quinze ans d’internement au goulag de Vorkouta, en Sibérie. D’une prison à l’autre, Cilka atterrit dans un autre enfer… Celui de Staline.
Le cauchemar recommence. Dans un wagon à bestiaux, Cilka se jure de ne jamais se retrouver dans un endroit comme le block 25. Ses amies lui manquent, sont-elles toujours en vie ?
Elle veut oublier son passé mais celui-ci va la rattraper. Cilka se souvient du début de son enfer à Auschwitz-Birkenau, c’était en 1942. Elle était avec sa sœur Magda, la sélection, le regard de l’officier Schwarzhuber, la première rencontre du tatoueur d’Auschwitz et de Gita, leur amitié, son affectation à l’administration… Elle a vu et subit tant de choses à seulement 16 ans.
Chef du Block 25, Cilka a assisté impuissante à la dernière nuit des déportés avant les chambres à gaz.
Si le passé de Cilka venait à être découvert, quel sort réserverait-on à celle qui a eu des relations avec l’ennemi même si c’était des viols ?
Dans le goulag de Vorkouta, Cilka explique comment rester en vie à Josie. Ici, elles ont aussi droit à toute l’horreur du sadisme, se déshabiller devant des hommes, être choisie par l’un d’eux, être tondue… Cilka et Josie n’ont pas vécu un jour dans le camp qu’elles ont déjà chacune un protecteur. Ici, il n’y a pas de chambres à gaz mais les viols, la violence…
Quand Josie est blessée, elles découvrent l’hôpital et grâce à sa facilité d’adaptation et à son sens de la survie, Cilka se voit proposer un poste à l’infirmerie.
Comme à Birkenau, Cilka a un statut de privilégiée qui causera bien des tensions avec ses camarades. Les viols quotidiens avec les Russes et le fait que Cilka les accepte sans protester est source de conflits avec Josie. De même que son passé est connu d’Hannah, une résistante polonaise. Sa survie dans le camp dépend uniquement d’elle. Tout comme Gita, Cilka va trouver l’amour au milieu de la violence, de l’horreur. Un amour qui la confortera dans son désir de se battre pour sa liberté.
Quand vous avez commis l’impensable, vous êtes prête à tout endurer.
Survivante de Birkenau, Cilka survivra-t-elle à 15 ans de goulag ?
Sa ténacité lui permettra-t-elle de cacher son secret ?
Peu de déportés au goulag connaissaient l’existence des camps de concentration et ce qui s’y passait. Ce qu’elle a vécu à Birkenau, personne ne la croirait.
Entrecoupé des souvenirs au camp d’Auschwitz-Birkenau, Cilka dévoile des bribes de sa vie, des choix qu’elle a du faire pour rester en vie.
Au goulag, elle croise Alexandr, le coursier et se demande si le bonheur lui est possible à elle après tout ce qu’elle a du faire.
Tel Lale, Cilka est déterminée à aider ses amies et se pose des questions sur certaines choses.
La vie de Cilka est remplie d’horreurs. Comment réussir à vivre après avoir vécu l’impensable ?
Où vont les enfants des viols commis par les Russes ?
Pourquoi laissent-on mourir des prisonniers en ne leur donnant aucun traitement ?
Le fonctionnement du goulag est plus complexe que ce qu’il y paraît et comme partout survivre à un prix.
Après avoir tout perdu, Cilka pourra-t-elle s’en sortir ?
Comment réapprendre à vivre avec tout ce qu’elle a enduré ?
L’amour pourra-t-elle la sauver des cauchemars qui ne cesseront de la hanter ?
Contrairement au précédent tome, l’auteur a dû se baser uniquement sur des recherches. L’histoire entre Cilka et Alexandr démarre vers plus de la moitié du livre. L’histoire de Cilka n’est que déportation, emprisonnement, choix et survie, la survie dans un goulag.
Ce livre raconte l’histoire d’une jeune fille de 16 ans qui a vu mourir toute sa famille et qui passe d’un enfer à un autre. Son instinct de survie et sa détermination seront sa force.
Après avoir vécu le pire, Cilka peut tout endurer même l’inadmissible.
Si Auschwitz était l’enfer, le goulag n’en est pas moins une prison des plus sordides, enfouie en Sibérie pour être oubliée aux yeux de tous.
Tout comme Auschwitz, on voit qu’ils deviennent invisibles, oubliés aux confins de la Sibérie.
Pourquoi Cilka a dû être punie si durement pour avoir choisie de vivre ?
Une histoire de courage, de compassion et d’amitié où l’on faisait ce qu’il fallait pour survivre.
Pour la majorité, Cilka a couché avec l’ennemi mais tout ce qu’on se dit c’est que c’était des viols et ce sujet reste malgré tout tabou. Il n’y a que récemment qu’on en parle ouvertement, sans minimiser, sans dire c’était la guerre.
Tout au long de sa détention en Sibérie, Cilka a mérité sa survie et sa liberté. D’infirmière à ambulancière, elle a été un ange pour tous ceux qui ont croisé son chemin.
Aujourd’hui, elle serait considérée comme une héroïne, grâce à toutes ses épreuves, elle a trouvé le bonheur et l’amour avec Alexandr.
Lale dira : « Elle était la personne la plus courageuse que j’ai jamais connue ».