Prosper Mérimée est né en septembre 1803 à Paris. Il est mort à Cannes en septembre 1870. D’origine française, il est un archéologue, un écrivain et un historien. Il a fait de longues études et est non seulement titulaire d’une licence en droit, mais aussi détenteur d’un certificat musical de fin d’études. Il maîtrise l’anglais, l’arabe, le grec et le russe. Les parents de Prosper disposent d’un solide bagage littéraire et intellectuel qui lui a permis de porter un certain intérêt à la littérature.
Dès 1825, il commence à publier ses premières œuvres. « La Vénus d'Ille » est l’une de ses nouvelles les plus fameuses. L’action se déroule sur Ille-sur-Têt, une ville dans le département des Pyrénées Orientales. Elle met en scène le narrateur (un archéologue), M. de Peyrehorade et sa femme, Alphonse de Peyrehorade ainsi que la Statue de Vénus. Ici, l’auteur nous plonge au cœur de l’histoire fantastique, imaginaire et intrigante d’une statue. Cette statue semble être à l’origine d’accidents, existe-t-il une explication rationnelle à ce phénomène ?
Sensible et émotionnel, Prosper Mérimée n’hésite pas à aborder des thèmes comme la femme, l’amour ou la nature dans ses œuvres. C’est le cas dans l’ouvrage « La perle de Tolède ». C’est une histoire passionnante que vous prendrez beaucoup de plaisir à lire.
Le joueur de flûte de Hamelin
Par :Formats :
- Nombre de pages28
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions14,5 cm × 23,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-909771-74-8
- EAN9782909771748
- Date de parution15/05/2015
- ÉditeurCorentin
Résumé
Il y a bien des années, les gens de Hamelin furent tourmentés par une multitude innombrable de rats qui venaient du Nord, par troupes si épaisses que la terre en était toute noire, et qu'un charretier n'aurait pas osé faire traverser à ses chevaux un chemin où ces animaux défilaient. Bref, s'il n'était venu remède à ce fléau, pas un grain de blé n'aurait pu se conserver dans Hamelin, et tous les habitants seraient morts de faim.
Voilà qu'un certain vendredi se présente devant le bourgmestre de la ville un grand homme, basané, sec, bouche fendue jusqu'aux oreilles, habillé d'une ample chemise à damiers rouges. Il offrit au bourgmestre, moyennant cent ducats, de délivrer la ville du fléau qui la désolait et tira de son sac une flûte de bronze…
Voilà qu'un certain vendredi se présente devant le bourgmestre de la ville un grand homme, basané, sec, bouche fendue jusqu'aux oreilles, habillé d'une ample chemise à damiers rouges. Il offrit au bourgmestre, moyennant cent ducats, de délivrer la ville du fléau qui la désolait et tira de son sac une flûte de bronze…
Il y a bien des années, les gens de Hamelin furent tourmentés par une multitude innombrable de rats qui venaient du Nord, par troupes si épaisses que la terre en était toute noire, et qu'un charretier n'aurait pas osé faire traverser à ses chevaux un chemin où ces animaux défilaient. Bref, s'il n'était venu remède à ce fléau, pas un grain de blé n'aurait pu se conserver dans Hamelin, et tous les habitants seraient morts de faim.
Voilà qu'un certain vendredi se présente devant le bourgmestre de la ville un grand homme, basané, sec, bouche fendue jusqu'aux oreilles, habillé d'une ample chemise à damiers rouges. Il offrit au bourgmestre, moyennant cent ducats, de délivrer la ville du fléau qui la désolait et tira de son sac une flûte de bronze…
Voilà qu'un certain vendredi se présente devant le bourgmestre de la ville un grand homme, basané, sec, bouche fendue jusqu'aux oreilles, habillé d'une ample chemise à damiers rouges. Il offrit au bourgmestre, moyennant cent ducats, de délivrer la ville du fléau qui la désolait et tira de son sac une flûte de bronze…