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16 octobre 1946. À l’issue du procès de Nuremberg, le dignitaire nazi Julius Streicher monte à l’échafaud. Avant d’être pendu, il lance : « Ce sont les Juifs qui vont être contents ! C’est Pourim 1946 ! » Stupeur dans le monde. Qu’a-t-il voulu dire ? Il est établi que Streicher fait référence à une fête juive qui commémore les événements relatés dans un texte biblique vieux de deux mille ans : le « Livre d’Esther ».
Mais sa déclaration n’en demeure pas moins énigmatique.
Ce fait historique avéré est le point de départ du Code d’Esther. Une aventure extraordinaire qui va conduire Bernard Benyamin et Yohan Perez de Nuremberg à Jérusalem, et des banques de Zurich à la prison de Landsberg, où Hitler rédigea Mein Kampf. De rencontres en révélations, ils découvriront que le Livre d’Esther recèle un message secret, et qu’il existe entre l’antique royaume perse et l’Allemagne du IIIe Reich des ressemblances défiant la raison.
Cet incroyable scénario, digne des Aventuriers de l’Arche perdue et de Dan Brown, n’a pourtant rien d’une fiction ; tous les faits relatés dans ce livre sont en effet rigoureusement authentiques.
Pour percer le « code d’Esther », Bernard Benyamin et Yohan Perez ont mené une longue enquête, interrogé de nombreux érudits juifs et historiens. Au terme de leurs investigations, ils lèvent ici le voile sur la prophétie la plus troublante du XXe siècle.
Code Esther
« Et si tout était écrit » ? Et si les terribles évènements des années 1930 et 1940 avaient été prédits par un écrit biblique, le livre d’Esther, ancien de deux mille ans ? Ils sont plusieurs à le penser et c’est cette interrogation qui va conduire le journaliste Bernard Benyamin et son ami Yohan Perez à mener l’enquête. A travers ce livre, on vit alors une recherche passionnante allant de Nuremberg, à Jérusalem puis Landsberg. En tant que journaliste, l’auteur sait qu’il faut rester prudent face à toutes les révélations. Mais l’enchaînement de celles-ci va rapidement semer le trouble en lui. Il n’est pas le seul puisque lorsque nous fermons le livre on en vient à penser « Et si … ».