Caraïbes. L'île de Black Conch. Un village échoué, Sainte-Constance. Une sirène et des hommes. Ça commence comme un vieux récit de pêcheurs, imbibés de rhum et de vieilles légendes, dans un lieu retiré du monde, où viennent s’arrimer les ouragans et les pluies diluviennes, où traînent les vieilles rancœurs de l’esclavage.
Ça commence ça : on pêche une sirène alors qu’on espérait tout au mieux un bon gros marlin.
Et puis, au fil des pages, se noue un drame intime, existentiel, une quête d’identité, une histoire d’amour, impossible bien sûr, au fil des pages
se dessinent des liens qu’on ne pensait pas si forts.
Mais l’arrivée d’une sirène, même si on se doutait bien que ça pouvait exister, eh bien, ça déclenche les éléments, les forces naturelles, ça expose les caractères, ça fait hurler le ciel, ça enclenche bien des choses…
D’une langue sensuelle et charnelle, riche et juteuse, Monique Roffey singularise le récit d’une histoire d’amour, par la force légendaire de son écriture, la bravoure viscérale de son odyssée immobile.
C’est vif, sensible, évocateur. Ça se referme sur toi comme un filet de pêche, et ça finit par te recracher à la mer un peu plus loin de l’endroit où tu avais commencé ta lecture.
La sirène de Black Conch
Caraïbes. L'île de Black Conch. Un village échoué, Sainte-Constance. Une sirène et des hommes. Ça commence comme un vieux récit de pêcheurs, imbibés de rhum et de vieilles légendes, dans un lieu retiré du monde, où viennent s’arrimer les ouragans et les pluies diluviennes, où traînent les vieilles rancœurs de l’esclavage.
Ça commence ça : on pêche une sirène alors qu’on espérait tout au mieux un bon gros marlin.
Et puis, au fil des pages, se noue un drame intime, existentiel, une quête d’identité, une histoire d’amour, impossible bien sûr, au fil des pages se dessinent des liens qu’on ne pensait pas si forts.
Mais l’arrivée d’une sirène, même si on se doutait bien que ça pouvait exister, eh bien, ça déclenche les éléments, les forces naturelles, ça expose les caractères, ça fait hurler le ciel, ça enclenche bien des choses…
D’une langue sensuelle et charnelle, riche et juteuse, Monique Roffey singularise le récit d’une histoire d’amour, par la force légendaire de son écriture, la bravoure viscérale de son odyssée immobile.
C’est vif, sensible, évocateur. Ça se referme sur toi comme un filet de pêche, et ça finit par te recracher à la mer un peu plus loin de l’endroit où tu avais commencé ta lecture.