J’adore découvrir les romans « Le cercle Belfond », c’est toujours des lectures instructives, inspirantes où les héroïnes prennent leurs destins en main. Celui-ci ne fait pas exception, c’est le premier roman de cet auteur que je lis et autant vous dire qu’une fois commencé vous ne le lâcherez pas. Je ne connaissais pas l’histoire des femmes en Amérique et même si je me doutais que les femmes étaient soumises, victimes de violence, Julie Kibler écrit leur histoire dans une vérité tellement authentique et saisissante que l’on en ressort sonnée. Bien qu’on devine les
horreurs qu’elles ont subi, traitées comme des moins que rien, inégales aux hommes, elles encaissent et se retrouvent filles-mère, à la rue livrées à la prostitution, rejetées par leurs familles à cause de la honte parce qu’elles ont subi le pire, victimes de leurs bourreaux et de leurs sévices.
A l’ère du « MeToo », où la parole se libère, on se rend compte que les femmes restent toujours une cible, inégale des hommes. Peu importe les époques, les violences conjugales, les viols, les meurtres… restent légions.
Arlington, Texas, août 2017.
Près de son nouveau domicile, Cate aperçoit un cimetière où fut le domaine de Berachah, un refuge pour les femmes et filles-mères tenus par le pasteur James T. Upchurch et sa femme Margaret Mae.
Lizzie Beates, automne 1904.
Son histoire est des plus sordides, traitées comme une esclave, droguée… Comment se battre pour trouver une place pour elle et sa fille dans un monde où être à moitié indienne et fille-mère est cause de rejets de la société ?
Cate est responsable des archives et s’intéresse tout comme son assistante Laurel aux jeunes filles de Barachah. Que sont-elles devenues ?
Mattie B. Corder, décembre 1904.
Fille-mère, Mattie n’a eu d’autres choix que de se prostituer pour survivre avec son fils Cap. Prête à tout pour sauver son fils, elle se rend à Berachah dans l’espoir qu’on puisse le sauver.
2017.
Cate ne s’attendait pas à revoir son passé ressurgir en pleine figure au court d’un concert.
Son enfance très religieuse, son premier amour pour River, son secret qui lui a fait couper les ponts avec sa famille qui n’a pas pris la décision de la protéger.
Ses actes s’entremêlent à ceux de ses recherches sur Mattie B. Corder. Celle qui a perdu son fils et qui a retrouvé l’espoir dans son amitié indéfectible avec Lizzie.
Dans leur refuge, des choses mystérieuses se passent…
Au fil de l’enquête de Cate et Laurel, le lecteur suit l’histoire de Lizzie et Mattie.
Pourquoi le foyer refusait-il autant de femmes sachant les violences qu’elles encouraient ?
Pourquoi n’accueillaient-ils que des femmes blanches ?
Cette histoire est celle de femmes qui après les viols, la répudiation par leur famille n’ont eu d’autres choix que de se prostituer pour survivre.
Que ce soit en 1900 ou des années après, les filles-mère devaient se battre quant au nom de la religion, on innocentait le violeur et on accusait la victime pour les apparences.
Les sujets abordés sont nombreux : achat du silence, abandon d’enfants, viols, violences conjugales, jeunesse et vies brisées, l’auteur rappelle que le sort des femmes est toujours fragile peu importe les époques.
La réputation, les ragots, les préjugés… Encore aujourd’hui, les femmes doivent se battre pour réclamer un minimum de justice et pour leurs droits à l’égalité dans une société où les inégalités sont toujours présentes.
Manifeste pour les femmes et leur combat à travers l’histoire de femmes égarées, rejetées par leurs familles et accueillie par l’Eglise.
Une histoire d’amitié entre deux époques, des combats à mener et le passé à réparer pour vivre un amour, synonyme d’un nouveau départ.
Un roman basé sur des faits réels qu’on n’oublie pas si facilement.
Un roman où les femmes se battent à l'heure où la parole se libère !
J’adore découvrir les romans « Le cercle Belfond », c’est toujours des lectures instructives, inspirantes où les héroïnes prennent leurs destins en main. Celui-ci ne fait pas exception, c’est le premier roman de cet auteur que je lis et autant vous dire qu’une fois commencé vous ne le lâcherez pas. Je ne connaissais pas l’histoire des femmes en Amérique et même si je me doutais que les femmes étaient soumises, victimes de violence, Julie Kibler écrit leur histoire dans une vérité tellement authentique et saisissante que l’on en ressort sonnée. Bien qu’on devine les horreurs qu’elles ont subi, traitées comme des moins que rien, inégales aux hommes, elles encaissent et se retrouvent filles-mère, à la rue livrées à la prostitution, rejetées par leurs familles à cause de la honte parce qu’elles ont subi le pire, victimes de leurs bourreaux et de leurs sévices.
A l’ère du « MeToo », où la parole se libère, on se rend compte que les femmes restent toujours une cible, inégale des hommes. Peu importe les époques, les violences conjugales, les viols, les meurtres… restent légions.
Arlington, Texas, août 2017.
Près de son nouveau domicile, Cate aperçoit un cimetière où fut le domaine de Berachah, un refuge pour les femmes et filles-mères tenus par le pasteur James T. Upchurch et sa femme Margaret Mae.
Lizzie Beates, automne 1904.
Son histoire est des plus sordides, traitées comme une esclave, droguée… Comment se battre pour trouver une place pour elle et sa fille dans un monde où être à moitié indienne et fille-mère est cause de rejets de la société ?
Cate est responsable des archives et s’intéresse tout comme son assistante Laurel aux jeunes filles de Barachah. Que sont-elles devenues ?
Mattie B. Corder, décembre 1904.
Fille-mère, Mattie n’a eu d’autres choix que de se prostituer pour survivre avec son fils Cap. Prête à tout pour sauver son fils, elle se rend à Berachah dans l’espoir qu’on puisse le sauver.
2017.
Cate ne s’attendait pas à revoir son passé ressurgir en pleine figure au court d’un concert.
Son enfance très religieuse, son premier amour pour River, son secret qui lui a fait couper les ponts avec sa famille qui n’a pas pris la décision de la protéger.
Ses actes s’entremêlent à ceux de ses recherches sur Mattie B. Corder. Celle qui a perdu son fils et qui a retrouvé l’espoir dans son amitié indéfectible avec Lizzie.
Dans leur refuge, des choses mystérieuses se passent…
Au fil de l’enquête de Cate et Laurel, le lecteur suit l’histoire de Lizzie et Mattie.
Pourquoi le foyer refusait-il autant de femmes sachant les violences qu’elles encouraient ?
Pourquoi n’accueillaient-ils que des femmes blanches ?
Cette histoire est celle de femmes qui après les viols, la répudiation par leur famille n’ont eu d’autres choix que de se prostituer pour survivre.
Que ce soit en 1900 ou des années après, les filles-mère devaient se battre quant au nom de la religion, on innocentait le violeur et on accusait la victime pour les apparences.
Les sujets abordés sont nombreux : achat du silence, abandon d’enfants, viols, violences conjugales, jeunesse et vies brisées, l’auteur rappelle que le sort des femmes est toujours fragile peu importe les époques.
La réputation, les ragots, les préjugés… Encore aujourd’hui, les femmes doivent se battre pour réclamer un minimum de justice et pour leurs droits à l’égalité dans une société où les inégalités sont toujours présentes.
Manifeste pour les femmes et leur combat à travers l’histoire de femmes égarées, rejetées par leurs familles et accueillie par l’Eglise.
Une histoire d’amitié entre deux époques, des combats à mener et le passé à réparer pour vivre un amour, synonyme d’un nouveau départ.
Un roman basé sur des faits réels qu’on n’oublie pas si facilement.