La grande muraille de Chine. Histoire et évolution d'un symbole
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages242
- PrésentationBroché
- Poids0.36 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-296-54633-2
- EAN9782296546332
- Date de parution01/05/2011
- CollectionRecherches asiatiques
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
C'est seulement depuis un siècle que certains de leurs dirigeants ont choisi d'en faire un symbole d'identification positive. Ils y ont réussi. Mais au-delà de ces faits peu connus, cet ouvrage s'attache à rechercher pourquoi les Chinois ont bâti une si grande quantité de murailles, tout au long de leur histoire : construire des murs était pour eux une solution familière, un moyen de contrôle, d'abord appliqué aux eaux du fleuve Jaune, puis aux peuples voisins.
Il analyse les avantages et les inconvénients qu'ont eus pour eux tous ces murs et les spécificités de l'organisation sociale qui les a rendus nécessaires. Enfin, l'auteur va à la recherche des autres "Grandes Murailles", électroniques (Internet), végétales, militaires, etc., que l'Etat chinois construit et entretient actuellement et des "petites Grandes Murailles" que les Chinois élèvent encore de nos jours, dans leur vie quotidienne.
Il soutient l'idée selon laquelle il y aurait, chez tous les humains, une propension à bâtir des murs, mais que cette propension serait plus forte que la moyenne chez les Chinois: il ouvre le débat à ce sujet.
C'est seulement depuis un siècle que certains de leurs dirigeants ont choisi d'en faire un symbole d'identification positive. Ils y ont réussi. Mais au-delà de ces faits peu connus, cet ouvrage s'attache à rechercher pourquoi les Chinois ont bâti une si grande quantité de murailles, tout au long de leur histoire : construire des murs était pour eux une solution familière, un moyen de contrôle, d'abord appliqué aux eaux du fleuve Jaune, puis aux peuples voisins.
Il analyse les avantages et les inconvénients qu'ont eus pour eux tous ces murs et les spécificités de l'organisation sociale qui les a rendus nécessaires. Enfin, l'auteur va à la recherche des autres "Grandes Murailles", électroniques (Internet), végétales, militaires, etc., que l'Etat chinois construit et entretient actuellement et des "petites Grandes Murailles" que les Chinois élèvent encore de nos jours, dans leur vie quotidienne.
Il soutient l'idée selon laquelle il y aurait, chez tous les humains, une propension à bâtir des murs, mais que cette propension serait plus forte que la moyenne chez les Chinois: il ouvre le débat à ce sujet.