L'art et la mort. Réflexions sur les pouvoirs de la peinture à la Renaissance
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- Nombre de pages121
- PrésentationBroché
- Poids0.29 kg
- Dimensions17,5 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-271-06458-9
- EAN9782271064585
- Date de parution16/11/2006
- ÉditeurCNRS
Résumé
Quels liens l'art et la mort entretiennent-ils à la Renaissance ? Comment montrer la mort en peinture ? Quelles sont les œuvres les plus exemplaires produites en Italie ? Afin d'apporter quelques éléments de réponse, l'auteur s'est appuyé sur la littérature artistique des XVe et XVIe siècles. Le rassemblement des textes a permis de dégager les enjeux théoriques de la figure de la mort, de détecter les types figuratifs prônés par les théoriciens, et de repérer les œuvres les plus célébrées à la Renaissance.
L'enquête débouche sur un constat surprenant : au trépas individuel réfléchi par la peinture s'oppose la Mort universelle dans les œuvres éphémères et la gravure, comme si deux imaginaires entraient en concurrence.
L'enquête débouche sur un constat surprenant : au trépas individuel réfléchi par la peinture s'oppose la Mort universelle dans les œuvres éphémères et la gravure, comme si deux imaginaires entraient en concurrence.
Quels liens l'art et la mort entretiennent-ils à la Renaissance ? Comment montrer la mort en peinture ? Quelles sont les œuvres les plus exemplaires produites en Italie ? Afin d'apporter quelques éléments de réponse, l'auteur s'est appuyé sur la littérature artistique des XVe et XVIe siècles. Le rassemblement des textes a permis de dégager les enjeux théoriques de la figure de la mort, de détecter les types figuratifs prônés par les théoriciens, et de repérer les œuvres les plus célébrées à la Renaissance.
L'enquête débouche sur un constat surprenant : au trépas individuel réfléchi par la peinture s'oppose la Mort universelle dans les œuvres éphémères et la gravure, comme si deux imaginaires entraient en concurrence.
L'enquête débouche sur un constat surprenant : au trépas individuel réfléchi par la peinture s'oppose la Mort universelle dans les œuvres éphémères et la gravure, comme si deux imaginaires entraient en concurrence.