José Antonio. La Phalange espagnole et le national-syndicalisme
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- Nombre de pages600
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.665 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 4,0 cm
- ISBN2-84191-101-2
- EAN9782841911011
- Date de parution17/02/2000
- ÉditeurGodefroy de Bouillon
Résumé
Mais quel homme se cache-t-il donc derrière le masque de pierre que détracteurs et hagiographes ont plaqué sur son visage ? A partir d'une masse considérable de faits, de documents et de témoignages, Arnaud Imatz apporte les réponses pondérées et argumentées de l'historien rigoureux. Mais il a surtout le mérite de montrer l'actualité de la pensée josé-antonienne et la cohérence de sa vision morale, politique et sociale.
Républicain de raison, partisan d'une démocratie moins formelle et plus participative, José-Antonio condamne à la fois la démocratie individualiste, paravent du régime ploutocratique et la démocratie collective, camouflage de la dictature socialo-marxiste. Il cherche à assurer la dignité de l'homme dans le travail, à implanter une profonde justice sociale pour que le peuple puisse retourner à la suprématie du spirituel.
Précurseur, il meurt pour avoir voulu trop tôt synthétiser les idées de droite et de gauche, concilier la tradition et la modernité.
Mais quel homme se cache-t-il donc derrière le masque de pierre que détracteurs et hagiographes ont plaqué sur son visage ? A partir d'une masse considérable de faits, de documents et de témoignages, Arnaud Imatz apporte les réponses pondérées et argumentées de l'historien rigoureux. Mais il a surtout le mérite de montrer l'actualité de la pensée josé-antonienne et la cohérence de sa vision morale, politique et sociale.
Républicain de raison, partisan d'une démocratie moins formelle et plus participative, José-Antonio condamne à la fois la démocratie individualiste, paravent du régime ploutocratique et la démocratie collective, camouflage de la dictature socialo-marxiste. Il cherche à assurer la dignité de l'homme dans le travail, à implanter une profonde justice sociale pour que le peuple puisse retourner à la suprématie du spirituel.
Précurseur, il meurt pour avoir voulu trop tôt synthétiser les idées de droite et de gauche, concilier la tradition et la modernité.