Jean-Louis Fargeon, parfumeur de Marie-Antoinette

Par : Elisabeth de Feydeau

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  • Nombre de pages229
  • PrésentationBroché
  • Poids0.4 kg
  • Dimensions17,0 cm × 21,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-262-01946-0
  • EAN9782262019464
  • Date de parution06/01/2005
  • ÉditeurPerrin

Résumé

" Tous les ans changent les goûts ; Tous les jours nouveaux parfums pour tout ; Soyez donc chimiste... " on croirait ces bouts rimés écrits sur mesure pour Jean-Louis Fargeon, " le " parfumeur du XVIIIe siècle. Cet enfant des Lumières, né à Montpellier en 1748, rêve du soleil de Versailles et des fastes de la Cour qu'il découvre en lisant le récit de l'arrivée en France, puis du mariage de l'archiduchesse Marie-Antoinette d'Autriche avec Louis, dauphin du royaume de France. A Montpellier capitale de la parfumerie française, il a acquis un savoir-faire ; à Paris, il en fera un art. Installé dans le quartier du Roule, sa boutique devient le temple des élégantes, son laboratoire le repaire des savants et curieux. Ce n'est qu'une étape : Fargeon pense à Versailles. Il peut compter sur Mme Du Barry -sa client -et doit se méfier de la jalousie tenace de Marie-Antoinette à l'égard de la favorite. Il parviendra néanmoins à rencontrer la jeune reine à son Trianon. Il a auprès d'elle un atout majeur : le goût du naturel et les odeurs qu'il lui prépare sont telles qu'elles les souhaite, adaptées à son goût et à ses humeurs. Parfumeur de Marie-Antoinette, Fargeon sera aussi celui des Enfants de France, jusqu'au coup de tonnerre de 1789. Républicain, il demeurera pourtant attaché à la famille royale jusqu'à la fuite de Varennes, jusqu'à la prison du Temple... et son propre procès.
" Tous les ans changent les goûts ; Tous les jours nouveaux parfums pour tout ; Soyez donc chimiste... " on croirait ces bouts rimés écrits sur mesure pour Jean-Louis Fargeon, " le " parfumeur du XVIIIe siècle. Cet enfant des Lumières, né à Montpellier en 1748, rêve du soleil de Versailles et des fastes de la Cour qu'il découvre en lisant le récit de l'arrivée en France, puis du mariage de l'archiduchesse Marie-Antoinette d'Autriche avec Louis, dauphin du royaume de France. A Montpellier capitale de la parfumerie française, il a acquis un savoir-faire ; à Paris, il en fera un art. Installé dans le quartier du Roule, sa boutique devient le temple des élégantes, son laboratoire le repaire des savants et curieux. Ce n'est qu'une étape : Fargeon pense à Versailles. Il peut compter sur Mme Du Barry -sa client -et doit se méfier de la jalousie tenace de Marie-Antoinette à l'égard de la favorite. Il parviendra néanmoins à rencontrer la jeune reine à son Trianon. Il a auprès d'elle un atout majeur : le goût du naturel et les odeurs qu'il lui prépare sont telles qu'elles les souhaite, adaptées à son goût et à ses humeurs. Parfumeur de Marie-Antoinette, Fargeon sera aussi celui des Enfants de France, jusqu'au coup de tonnerre de 1789. Républicain, il demeurera pourtant attaché à la famille royale jusqu'à la fuite de Varennes, jusqu'à la prison du Temple... et son propre procès.