Il y a un peu plus d’un an, je découvrais bien volontiers Olivier Kourilsky avec Meurtre pour de bonnes raisons. Aujourd’hui, c’est avec son sixième roman, HOMICIDE POST MORTEM que je poursuis ma découverte de l’auteur …
L’ex-divisionnaire André Buchot a été assassiné à son domicile. L’arme du crime est un Beretta ayant appartenu à Jules Machefer, un flic pourri abattu quinze ans plus tôt.
Un message signé des initiales de Prosper Croquemétal alias Jules Machefer est retrouvé sur les lieux du crime.
Ce n’est qu’un début.
Ma vengeance va continuer.
Lentement
mais sûrement.
P.C.
Quelques jours plus tard, c’est au tour du professeur Pierre Banari de recevoir le même message, lorsque sa fille et son compagnon sont arrêtés au Laos en possession de cannabis et d’une importante quantité d’héroïne.
Alors que les cadavres s’accumulent, le commandant Claude Chaudron et son équipe vont tenter de mener à bien leur enquête afin de découvrir qui se cache derrière cette histoire de revenant …
Le commandant Claude Chaudron et son équipe se trouvent en plein désarroi face à une enquête qui sort de l’ordinaire. Le zombie, nom de code donné au tueur par les enquêteurs de la Criminelle, menace clairement de s’en prendre à tous ceux qui ont joué un rôle dans la neutralisation de Machefer, quinze ans auparavant. Le temps presse car le zombie mène la danse, désorganisant ainsi le travail de Claude Chaudron et de son groupe.
Avec HOMICIDE POST MORTEM, Olivier Kourilsky nous offre un roman rythmé au suspense maîtrisé. Dans cette traditionnelle intrigue policière, il nous balade à sa guise, dirigeant tour à tour les soupçons sur plusieurs membres de l’équipe du commandant Chaudron, créant ainsi son lot de fausses pistes. Les quelques scènes se déroulant au Laos auraient mérité d’être plus approfondies afin de donner au roman la possibilité de se démarquer un peu plus.
C’est en tout cas avec satisfaction que j’ai retrouvé les qualités auxquelles j’avais pu goûter à la lecture de Meurtre pour de bonnes raisons, tant sur le plan de la réalisation que sur celui de l’écriture du roman. Intrigue classique mais efficace, élégance de la plume et zeste d’humour font de ce roman un bon moment de lecture.
D’agréables retrouvailles …
http://lenoiremoi.overblog.com/homicide-post-mortem-d-olivier-kourilsky
D’agréables retrouvailles …
Il y a un peu plus d’un an, je découvrais bien volontiers Olivier Kourilsky avec Meurtre pour de bonnes raisons. Aujourd’hui, c’est avec son sixième roman, HOMICIDE POST MORTEM que je poursuis ma découverte de l’auteur …
L’ex-divisionnaire André Buchot a été assassiné à son domicile. L’arme du crime est un Beretta ayant appartenu à Jules Machefer, un flic pourri abattu quinze ans plus tôt.
Un message signé des initiales de Prosper Croquemétal alias Jules Machefer est retrouvé sur les lieux du crime.
Ce n’est qu’un début.
Ma vengeance va continuer.
Lentement mais sûrement.
P.C.
Quelques jours plus tard, c’est au tour du professeur Pierre Banari de recevoir le même message, lorsque sa fille et son compagnon sont arrêtés au Laos en possession de cannabis et d’une importante quantité d’héroïne.
Alors que les cadavres s’accumulent, le commandant Claude Chaudron et son équipe vont tenter de mener à bien leur enquête afin de découvrir qui se cache derrière cette histoire de revenant …
Le commandant Claude Chaudron et son équipe se trouvent en plein désarroi face à une enquête qui sort de l’ordinaire. Le zombie, nom de code donné au tueur par les enquêteurs de la Criminelle, menace clairement de s’en prendre à tous ceux qui ont joué un rôle dans la neutralisation de Machefer, quinze ans auparavant. Le temps presse car le zombie mène la danse, désorganisant ainsi le travail de Claude Chaudron et de son groupe.
Avec HOMICIDE POST MORTEM, Olivier Kourilsky nous offre un roman rythmé au suspense maîtrisé. Dans cette traditionnelle intrigue policière, il nous balade à sa guise, dirigeant tour à tour les soupçons sur plusieurs membres de l’équipe du commandant Chaudron, créant ainsi son lot de fausses pistes. Les quelques scènes se déroulant au Laos auraient mérité d’être plus approfondies afin de donner au roman la possibilité de se démarquer un peu plus.
C’est en tout cas avec satisfaction que j’ai retrouvé les qualités auxquelles j’avais pu goûter à la lecture de Meurtre pour de bonnes raisons, tant sur le plan de la réalisation que sur celui de l’écriture du roman. Intrigue classique mais efficace, élégance de la plume et zeste d’humour font de ce roman un bon moment de lecture.
D’agréables retrouvailles …
http://lenoiremoi.overblog.com/homicide-post-mortem-d-olivier-kourilsky