Comment a disparu la civilisation de l'Egypte ancienne ?

Par : Jean-Paul de Lagrave

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  • Nombre de pages102
  • PrésentationBroché
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions13,9 cm × 22,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-35599-153-0
  • EAN9782355991530
  • Date de parution10/02/2014
  • ÉditeurMaison de vie

Résumé

En dépit d'une occupation grecque puis romaine de plusieurs siècles, la vitalité de la civilisation égyptienne demeure intacte en cette fin de IVe siècle : les temples sont ouverts et actifs, les "maisons de vie" dans lesquelles on recopie sans relâche des textes hiéroglyphiques anciens sont toujours en activité. Le culte des dieux se poursuit et la déesse Maât, garante de l'harmonie de la société, est toujours vénérée.
Ce livre relate les dramatiques événements consécutifs à l'édit de l'empereur Théodose qui, pour accélérer la "conversion" de l'Egypte à la nouvelle religion chrétienne, interdisait sous peine de mort la pratique du culte égyptien. Cette décision détruisait le fondement même de cette brillante civilisation, vieille de plus de trois millénaires. Dès la publication de l'édit, le 16 juin 391, le patriarche-archevêque Théophile, à la tête d'un bataillon de moines fanatisés - les barbes noires - détruit les temples et tue les fidèles d'Alexandrie.
Cette folie meurtrière ne s'arrête qu'en 551, une fois l'antique religion égyptienne complètement éradiquée. Avec elle dis-paraissait du même coup la prodigieuse civilisation des bords du Nil. Moins de cent ans plus tard, Cyrus, patriarche-archevêque d'Alexandrie et gouverneur de l'Egypte, offrait la capitulation du pays à l'émir Amrou ben Al-As, à la tête de 4 000 "Cavaliers d'Allah".
En dépit d'une occupation grecque puis romaine de plusieurs siècles, la vitalité de la civilisation égyptienne demeure intacte en cette fin de IVe siècle : les temples sont ouverts et actifs, les "maisons de vie" dans lesquelles on recopie sans relâche des textes hiéroglyphiques anciens sont toujours en activité. Le culte des dieux se poursuit et la déesse Maât, garante de l'harmonie de la société, est toujours vénérée.
Ce livre relate les dramatiques événements consécutifs à l'édit de l'empereur Théodose qui, pour accélérer la "conversion" de l'Egypte à la nouvelle religion chrétienne, interdisait sous peine de mort la pratique du culte égyptien. Cette décision détruisait le fondement même de cette brillante civilisation, vieille de plus de trois millénaires. Dès la publication de l'édit, le 16 juin 391, le patriarche-archevêque Théophile, à la tête d'un bataillon de moines fanatisés - les barbes noires - détruit les temples et tue les fidèles d'Alexandrie.
Cette folie meurtrière ne s'arrête qu'en 551, une fois l'antique religion égyptienne complètement éradiquée. Avec elle dis-paraissait du même coup la prodigieuse civilisation des bords du Nil. Moins de cent ans plus tard, Cyrus, patriarche-archevêque d'Alexandrie et gouverneur de l'Egypte, offrait la capitulation du pays à l'émir Amrou ben Al-As, à la tête de 4 000 "Cavaliers d'Allah".