Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
" Je crois vous avoir dit que j'avais fait un dialogue entre d'Alembert et moi. En le relisant, il m'a pris en fantaisie d'en faire un second, et il a...
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Livré chez vous entre le 21 novembre et le 26 novembre
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Résumé
" Je crois vous avoir dit que j'avais fait un dialogue entre d'Alembert et moi. En le relisant, il m'a pris en fantaisie d'en faire un second, et il a été fait. Les interlocuteurs sont d'Alembert qui rêve, Bordeu et l'amie de d'Alembert, mademoiselle de Lespinasse. Il est intitulé Le Rêve de d'Alembert. Il n'est pas possible d'être plus profond et plus fou. J'y ai ajouté après coup cinq ou six pages capables de faire dresser les cheveux à mon amoureuse, aussi ne les verra-t-elle jamais ; mais ce qui va bien vous surprendre, c'est qu'il n'y a pas un seul mot de religion, et pas un seul mot déshonnête ; après cela, je vous défie de deviner ce que ce peut être. " Ainsi Diderot annonce-t-il, dans une lettre à Sophie Volland, l'un des textes philosophiques les plus étonnants du XVIIIe siècle. Une philosophie matérialiste est-elle possible ? La sensibilité de la matière est-elle pensable ? Suffit-elle pour expliquer la vie, la pensée et l'unité du sujet ? De la médecine à la morale, l'excursion métaphysique rencontre sur son chemin un clavecin sensible, un essaim d'abeilles, une araignée et des chèvre-pieds...
"Je crois vous avoir dit que j'avais fait un dialogue entre d'Alembert et moi. En le relisant, il m'a pris en fantaisie d'en faire un second, et il a été fait. Les interlocuteurs sont d'Alembert qui rêve, Bordeu et l'amie de d'Alembert, mademoiselle de Lespinasse. Il est intitulé Le Rêve de d'Alembert. Il n'est pas possible d'être plus profond et plus fou. J'y ai ajouté après coup cinq ou six pages capables de faire dresser les cheveux à mon amoureuse, aussi ne les verra-t-elle jamais ; mais ce qui va bien vous surprendre, c'est qu'il n'y a pas un seul mot de religion, et pas un seul mot déshonnête ; après cela, je vous défie de deviner ce que ce peut être". Ainsi Diderot annonce-t-il, dans une lettre à Sophie Volland, l'un des textes philosophiques les plus étonnants du XVIIIe siècle. Une philosophie matérialiste est-elle possible ? La sensibilité de la matière est-elle pensable ? Suffit-elle pour expliquer la vie, la pensée et l'unité du sujet ? De la médecine à la morale, l'excursion métaphysique rencontre sur son chemin un clavecin sensible, un essaim d'abeilles, une araignée et des chèvre-pieds...