
Yalta. Tragédie
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- Nombre de pages164
- FormatPDF
- ISBN2-260-05345-9
- EAN9782260053453
- Date de parution01/01/1984
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille30 Mo
- ÉditeurJulliard (réédition numérique FeniXX)
Résumé
Les dialogues sont presque entièrement composés de citations, et c'est quand ils peuvent paraître les plus invraisemblables qu'ils sont les mieux authentifiés. Churchill a réellement proposé des partages d'influence calculés en pourcentages ; Roosevelt a réellement parlé, sur le ton badin, de fusiller 49 500 officiers allemands ; Staline a réellement insinué que la Manche n'était pas infranchissable pour l'Armée rouge.
La quantité de caviar fournie a réellement été de 16 tonnes, affirment les historiens. L'auteur s'est cependant cru autorisé à certaines licences. Il fait prononcer à Yalta quelques paroles historiques qui l'ont été à Téhéran. Les protagonistes reprennent à leur compte plusieurs opinions qui, dans la réalité, ont été exprimées par leurs conseillers. Les délégations comptaient des dizaines de membres ; elles ont été réduites à leurs chefs.
Les divers thèmes sont traités l'un après l'autre, sans ajournements ni reprises. L'espace-temps a été resserré. Pas d'interprètes : tout le monde s'exprime en français. Malgré - ou grâce à - ces libertés, la tragédie se veut rigoureusement conforme à l'événement, dont presque toutes les minutes - sauf les soviétiques - ont été publiées. Reste l'interprétation poétique, dont l'auteur est évidemment seul responsable.
Les dialogues sont presque entièrement composés de citations, et c'est quand ils peuvent paraître les plus invraisemblables qu'ils sont les mieux authentifiés. Churchill a réellement proposé des partages d'influence calculés en pourcentages ; Roosevelt a réellement parlé, sur le ton badin, de fusiller 49 500 officiers allemands ; Staline a réellement insinué que la Manche n'était pas infranchissable pour l'Armée rouge.
La quantité de caviar fournie a réellement été de 16 tonnes, affirment les historiens. L'auteur s'est cependant cru autorisé à certaines licences. Il fait prononcer à Yalta quelques paroles historiques qui l'ont été à Téhéran. Les protagonistes reprennent à leur compte plusieurs opinions qui, dans la réalité, ont été exprimées par leurs conseillers. Les délégations comptaient des dizaines de membres ; elles ont été réduites à leurs chefs.
Les divers thèmes sont traités l'un après l'autre, sans ajournements ni reprises. L'espace-temps a été resserré. Pas d'interprètes : tout le monde s'exprime en français. Malgré - ou grâce à - ces libertés, la tragédie se veut rigoureusement conforme à l'événement, dont presque toutes les minutes - sauf les soviétiques - ont été publiées. Reste l'interprétation poétique, dont l'auteur est évidemment seul responsable.