Coup de coeur
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  • Nombre de pages448
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.233 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-266-29773-8
  • EAN9782266297738
  • Date de parution05/03/2020
  • CollectionPocket
  • ÉditeurPocket
  • TraducteurMichael Belano

Résumé

Cent mots par jour. Depuis l'avènement au pouvoir d'un Parti fondamentaliste, les femmes sont soumises à ce quota absurde. Un mot de plus, un seul, et le bracelet-compteur qu'elles portent au poignet envoie une décharge électrique. Aussi, lorsque Jean McClellan se voit proposer de venir en aide au frère du Président, victime d'une aphasie, l'ex-docteur en neurosciences n'hésite-t-elle pas longtemps.
La récompense ? La possibilité de s'affranchir - et sa fille avec elle - de son quota de mots. Mais ce qu'elle va découvrir, alors qu'elle recouvre la parole, pourrait bien la laisser définitivement sans voix...
Cent mots par jour. Depuis l'avènement au pouvoir d'un Parti fondamentaliste, les femmes sont soumises à ce quota absurde. Un mot de plus, un seul, et le bracelet-compteur qu'elles portent au poignet envoie une décharge électrique. Aussi, lorsque Jean McClellan se voit proposer de venir en aide au frère du Président, victime d'une aphasie, l'ex-docteur en neurosciences n'hésite-t-elle pas longtemps.
La récompense ? La possibilité de s'affranchir - et sa fille avec elle - de son quota de mots. Mais ce qu'elle va découvrir, alors qu'elle recouvre la parole, pourrait bien la laisser définitivement sans voix...

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

4 Coups de cœur
de nos libraires
Mathilde Littéraire - 1Decitre Annecy
4/5
Je veux me battre, mais je ne sais pas comment.
Ce livre est un roman de science-fiction dystopique, dans un futur proche où les américaines sont réduites à 100 mots par jour. Jean McClellan est docteure en neurosciences aux Etats-Unis, jusqu’au jour où les femmes sont réduites au quasi-silence par un bracelet compte-mot. Un an après, elle peut reprendre son travail sous condition et retrouve sa parole. La thématique principale m’intéresse fortement, tout ce qui touche au féminisme, aux droits des femmes me plait. Cette dystopie que nous propose Christina Dalcher est effrayante, n’avoir que 100 mots par jour, avec un compteur de mots au poignet et un gouvernement terrifiant, qui réduisent les femmes au silence ! Une organisation est aussi créée, s’appelant les Purs pour purifier (logique) la population, tout est mis en place pour remettre les hommes au pouvoir. Ce roman met mal à l’aise, j’ai eu envie de crier et de pleurer en lisant les premiers chapitres et quelques passages terribles par rapport aux femmes et à ce qu’il leurs arrive durant l’histoire. Le temps que l’histoire se mette en place, on suit donc Jean, docteure en neurosciences, qui reprend enfin le travail après un an de quasi-silence. Petit à petit, elle fait bouger les choses, une pierre après l’autre, pour reprendre ses droits et libérer la parole à sa fille et elle. Malgré toute la partie neuroscientifique où j’ai eu du mal à suivre, ce roman se lit bien, un bon mélange entre descriptions, réflexions et actions. Certains des personnages sont horribles, j'ai eu envie de les baffer, comme Morgan, le direction de Jean, ainsi que son mari et son fils ainé ; qui adhèrent presque sans discuter et sans réflexion à cette société dystopique ! Comment peut-on adhérer à un système sans se poser de questions, sans réfléchir ni se renseigner ?! Je pense, comme beaucoup de personnes, j’ai eu un peu de mal sur les derniers chapitres où certains événements sont précipités, légèrement bâclés pour éviter des choix. J’aurais aimé un peu plus de précisions et de profondeur sur l’après. Dans l’ensemble, une très bonne lecture, amenant à beaucoup de réflexions sur les droits des femmes, nos sociétés actuelles ...
Ce livre est un roman de science-fiction dystopique, dans un futur proche où les américaines sont réduites à 100 mots par jour. Jean McClellan est docteure en neurosciences aux Etats-Unis, jusqu’au jour où les femmes sont réduites au quasi-silence par un bracelet compte-mot. Un an après, elle peut reprendre son travail sous condition et retrouve sa parole. La thématique principale m’intéresse fortement, tout ce qui touche au féminisme, aux droits des femmes me plait. Cette dystopie que nous propose Christina Dalcher est effrayante, n’avoir que 100 mots par jour, avec un compteur de mots au poignet et un gouvernement terrifiant, qui réduisent les femmes au silence ! Une organisation est aussi créée, s’appelant les Purs pour purifier (logique) la population, tout est mis en place pour remettre les hommes au pouvoir. Ce roman met mal à l’aise, j’ai eu envie de crier et de pleurer en lisant les premiers chapitres et quelques passages terribles par rapport aux femmes et à ce qu’il leurs arrive durant l’histoire. Le temps que l’histoire se mette en place, on suit donc Jean, docteure en neurosciences, qui reprend enfin le travail après un an de quasi-silence. Petit à petit, elle fait bouger les choses, une pierre après l’autre, pour reprendre ses droits et libérer la parole à sa fille et elle. Malgré toute la partie neuroscientifique où j’ai eu du mal à suivre, ce roman se lit bien, un bon mélange entre descriptions, réflexions et actions. Certains des personnages sont horribles, j'ai eu envie de les baffer, comme Morgan, le direction de Jean, ainsi que son mari et son fils ainé ; qui adhèrent presque sans discuter et sans réflexion à cette société dystopique ! Comment peut-on adhérer à un système sans se poser de questions, sans réfléchir ni se renseigner ?! Je pense, comme beaucoup de personnes, j’ai eu un peu de mal sur les derniers chapitres où certains événements sont précipités, légèrement bâclés pour éviter des choix. J’aurais aimé un peu plus de précisions et de profondeur sur l’après. Dans l’ensemble, une très bonne lecture, amenant à beaucoup de réflexions sur les droits des femmes, nos sociétés actuelles ...
Nathalie R.Decitre Ecully
5/5
Sans voix
Dans un futur proche aux Etats-Unis, le pouvoir en place, influencé par la religion, instaure des réformes contre les femmes. Elles n’ont plus le droit de travailler et elles doivent porter un bracelet qui limite le nombre de mots à 100 par jour. Si les 100 mots sont dépassés, elles reçoivent une décharge électrique. Nous allons suivre une famille composée de Patrick, le père, qui travaille pour le gouvernement, de Jean, la mère, ancienne docteure en neurosciences et les 4 enfants, 3 garçons et une fille de 4 ans. A travers ces différents personnages, nous voyons évoluer cette nouvelle société. A l’école les filles et les garçons sont séparés. Les filles n’apprennent plus à lire ni à écrire, par contre elles ont des cours de couture. L’histoire va prendre une nouvelle tournure lorsque le gouvernement a besoin des compétences de Jean… Va-t-elle pouvoir agir ? Résister ? Cet ouvrage m’a rappelé combien nos libertés étaient récentes et non acquises. Tout est tellement possible. Comment devons nous résister, nous les femmes et vous les hommes ? «  La seule chose qui permet au mal de triompher est l'inaction des hommes de bien. »
Dans un futur proche aux Etats-Unis, le pouvoir en place, influencé par la religion, instaure des réformes contre les femmes. Elles n’ont plus le droit de travailler et elles doivent porter un bracelet qui limite le nombre de mots à 100 par jour. Si les 100 mots sont dépassés, elles reçoivent une décharge électrique. Nous allons suivre une famille composée de Patrick, le père, qui travaille pour le gouvernement, de Jean, la mère, ancienne docteure en neurosciences et les 4 enfants, 3 garçons et une fille de 4 ans. A travers ces différents personnages, nous voyons évoluer cette nouvelle société. A l’école les filles et les garçons sont séparés. Les filles n’apprennent plus à lire ni à écrire, par contre elles ont des cours de couture. L’histoire va prendre une nouvelle tournure lorsque le gouvernement a besoin des compétences de Jean… Va-t-elle pouvoir agir ? Résister ? Cet ouvrage m’a rappelé combien nos libertés étaient récentes et non acquises. Tout est tellement possible. Comment devons nous résister, nous les femmes et vous les hommes ? «  La seule chose qui permet au mal de triompher est l'inaction des hommes de bien. »
Claire SeDecitre Crêches-sur-Saône
5/5
Avoir le mot sur le bout de la langue
Jean, docteure en neuroscience, n'est plus en mesure de s'exprimer. Comme le reste des femmes aux Etats-Unis, elle n'a le droit qu'à cent mots par jour. Au-delà, son bracelet - un compte-mot- lui envoie une décharge. Et le jour où le Président, par l'intermédiaire d'un religieux, lui demande de sauver son frère, Jean retrouve la parole et découvre l'envers du décors et la machination qui se cache derrière. Que fera-t-elle? Sera-t-elle en mesure de parler? Dans notre société où la parole de la femme est plus libérée, Christina Dalcher nous offre à contrario une dystopie glaçante et surprenante où la femme n'a plus aucun droit, ni à la pensée, et ni à la parole. Dans la lignée de la servante écarlate. Éblouissant.
Jean, docteure en neuroscience, n'est plus en mesure de s'exprimer. Comme le reste des femmes aux Etats-Unis, elle n'a le droit qu'à cent mots par jour. Au-delà, son bracelet - un compte-mot- lui envoie une décharge. Et le jour où le Président, par l'intermédiaire d'un religieux, lui demande de sauver son frère, Jean retrouve la parole et découvre l'envers du décors et la machination qui se cache derrière. Que fera-t-elle? Sera-t-elle en mesure de parler? Dans notre société où la parole de la femme est plus libérée, Christina Dalcher nous offre à contrario une dystopie glaçante et surprenante où la femme n'a plus aucun droit, ni à la pensée, et ni à la parole. Dans la lignée de la servante écarlate. Éblouissant.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
A lire absolument !!
Nous sommes ici en pleine dystopie, en Amérique à notre époque contemporaine. La parole des femmes est bridée...mais bridée au vrai sens du terme : au poignet de chaque femme (et petite fille) un "compte-mot", sorte de bracelet qui limite leur parole à 100 mots par jour. Vous dépassez d'un seul mot votre réserve autorisée et c'est un courant électrique qui vous remet dans le droit chemin. Vous l'aurez compris, la femme ici a littéralement régressé dans la société : elle ne peut plus travailler, ni parler et elle dépend totalement du bon vouloir des hommes qu'il s'agisse de son mari ou du gouvernement. Car oui, la force de ce roman est de nous montrer comment, imperceptiblement mais sûrement, une société peut basculer. Et cette bascule ne ce fait pas par la violence directe...Non...mais par le pouvoir...la prise de pouvoir par le vote d'hommes qui promeuvent une idéologie et qui par l'ascension du plus haut sommet de l'état arrivent à bouleverser le pays et la position de la femme (mais aussi des minorités et de ceux qui "dérangent"), à remettre en cause tous les acquis. En une année seulement on suit les changements qui se sont opérés et l'histoire de Jean et sa famille. Ce roman est très immersif, il fait peur par son réalisme car oui rien n'est jamais acquis et on a déjà dans l'Histoire vu ce qu'une élection démocratique a pu donner. En cette période où le monde traverse de grands bouleversements, le récit résonne d'autant plus. On pense à toutes ces femmes qui dans le monde connaissent cette oppression et à leur combat. Une seule chose à dire : lisez ce livre, lisez ce livre !!!
Nous sommes ici en pleine dystopie, en Amérique à notre époque contemporaine. La parole des femmes est bridée...mais bridée au vrai sens du terme : au poignet de chaque femme (et petite fille) un "compte-mot", sorte de bracelet qui limite leur parole à 100 mots par jour. Vous dépassez d'un seul mot votre réserve autorisée et c'est un courant électrique qui vous remet dans le droit chemin. Vous l'aurez compris, la femme ici a littéralement régressé dans la société : elle ne peut plus travailler, ni parler et elle dépend totalement du bon vouloir des hommes qu'il s'agisse de son mari ou du gouvernement. Car oui, la force de ce roman est de nous montrer comment, imperceptiblement mais sûrement, une société peut basculer. Et cette bascule ne ce fait pas par la violence directe...Non...mais par le pouvoir...la prise de pouvoir par le vote d'hommes qui promeuvent une idéologie et qui par l'ascension du plus haut sommet de l'état arrivent à bouleverser le pays et la position de la femme (mais aussi des minorités et de ceux qui "dérangent"), à remettre en cause tous les acquis. En une année seulement on suit les changements qui se sont opérés et l'histoire de Jean et sa famille. Ce roman est très immersif, il fait peur par son réalisme car oui rien n'est jamais acquis et on a déjà dans l'Histoire vu ce qu'une élection démocratique a pu donner. En cette période où le monde traverse de grands bouleversements, le récit résonne d'autant plus. On pense à toutes ces femmes qui dans le monde connaissent cette oppression et à leur combat. Une seule chose à dire : lisez ce livre, lisez ce livre !!!
Absolument génial.
Ce roman devrait beaucoup faire parler de lui. Pour moi en tout ça a été un énorme coup de cœur. Jean est une scientifique spécialisée dans les troubles du langage. Mais elle qui a tant étudié pour rendre la parole à autrui se retrouve aujourd’hui muselée. Car pendant qu’elle passait sa vie le nez dans les bouquins, le monde a changé. Et maintenant il est trop tard. Les États-Unis, affaiblis, ont basculé dans une sorte de dictature religieuse. Le Révérend Carl, qui prône un style de Vie Pure, où les femmes reprendraient leur place de gardienne du foyer, est doucement parvenu à mettre en place la politique dont il rêvait. Grâce, notamment, à un Président élu avec les voix de ses fidèles. Les femmes portent maintenant un compte-mots, qui ne leur autorise que 100 mots par jour; on apprend aux petites filles à être de bonnes ménagères et l’on éduque les jeunes garçons pour qu’ils deviennent les futurs seigneurs et maîtres. Quant à la délation et l’ultra surveillance, elles sont devenues la norme. Comment tout cela a-t-il pu arriver ? Progressivement. À force de penser que personne n’écouterait des tels discours. Que ces paroles de haine ne pourraient jamais devenir la norme. Que les gens ne tolèreraient pas « ça ». Qu’il serait toujours temps de réagir, plus tard... Jusqu’au jour où le plus tard est devenu trop tard. Mais, grâce à un accident, Jean pourrait bien pouvoir enfin agir et rétablir les choses. À moins que les cartes ne soient encore plus truquées qu’elle ne l’avait imaginé ? Dans cette dystopie, qui par bien des aspects nous rappelle le monde dans lequel nous évoluons, Christina Dalcher nous raconte une histoire qui pourrait tout à fait devenir la nôtre. Grâce à des personnages forts, une intrigue prenante, un rythme haletant et une plume terriblement addictive, elle nous offre un livre difficile à poser une fois commencé. Si j’ai tant aimé VOX c’est bien entendu pour toutes ces points positifs. Mais c’est aussi pour le message qu’il véhicule : ne pas croire qu’il sera toujours temps d’empêcher les choses d’arriver et ne surtout jamais sous-estimer la force des idées d’extrémistes en tous genres. Addictif et intelligent, Vox est à lire absolument.
Ce roman devrait beaucoup faire parler de lui. Pour moi en tout ça a été un énorme coup de cœur. Jean est une scientifique spécialisée dans les troubles du langage. Mais elle qui a tant étudié pour rendre la parole à autrui se retrouve aujourd’hui muselée. Car pendant qu’elle passait sa vie le nez dans les bouquins, le monde a changé. Et maintenant il est trop tard. Les États-Unis, affaiblis, ont basculé dans une sorte de dictature religieuse. Le Révérend Carl, qui prône un style de Vie Pure, où les femmes reprendraient leur place de gardienne du foyer, est doucement parvenu à mettre en place la politique dont il rêvait. Grâce, notamment, à un Président élu avec les voix de ses fidèles. Les femmes portent maintenant un compte-mots, qui ne leur autorise que 100 mots par jour; on apprend aux petites filles à être de bonnes ménagères et l’on éduque les jeunes garçons pour qu’ils deviennent les futurs seigneurs et maîtres. Quant à la délation et l’ultra surveillance, elles sont devenues la norme. Comment tout cela a-t-il pu arriver ? Progressivement. À force de penser que personne n’écouterait des tels discours. Que ces paroles de haine ne pourraient jamais devenir la norme. Que les gens ne tolèreraient pas « ça ». Qu’il serait toujours temps de réagir, plus tard... Jusqu’au jour où le plus tard est devenu trop tard. Mais, grâce à un accident, Jean pourrait bien pouvoir enfin agir et rétablir les choses. À moins que les cartes ne soient encore plus truquées qu’elle ne l’avait imaginé ? Dans cette dystopie, qui par bien des aspects nous rappelle le monde dans lequel nous évoluons, Christina Dalcher nous raconte une histoire qui pourrait tout à fait devenir la nôtre. Grâce à des personnages forts, une intrigue prenante, un rythme haletant et une plume terriblement addictive, elle nous offre un livre difficile à poser une fois commencé. Si j’ai tant aimé VOX c’est bien entendu pour toutes ces points positifs. Mais c’est aussi pour le message qu’il véhicule : ne pas croire qu’il sera toujours temps d’empêcher les choses d’arriver et ne surtout jamais sous-estimer la force des idées d’extrémistes en tous genres. Addictif et intelligent, Vox est à lire absolument.
VOX
4.8/5
5/5
Christina Dalcher
E-book
6,99 €
QI
5/5
Christina Dalcher
Poche
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QI
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Femlandia
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Femlandia
4/5
Christina Dalcher
Grand Format
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Femlandia
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VOX
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Grand Format
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Vox
4.8/5
5/5
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Vox
4.8/5
5/5
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Grand Format
12,10 €
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Femlandia
4/5
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Q
Christina Dalcher
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6,29 €
Vox
4.8/5
5/5
Christina Dalcher
Audiobook
20,99 €
Vox
4.8/5
5/5
Christina Dalcher
E-book
9,99 €
QI
5/5
Christina Dalcher
Grand Format
22,00 €
The Sentence
Christina Dalcher
Grand Format
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