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Chacun des bacs contenait une sphère verte prolongée de fines racines qui plongeaient dans une terre jaune. À la périphérie, une douzaine de filaments se mouvaient lentement. Au-dessus était suspendu un flacon muni d'une tubulure plastique. Quand une goutte rouge tombait, l'orifice de la plante se dilatait, l'absorbait, puis se contractait. Telle une bouche attendant sa provende. L'androïde préleva une goutte, l'étala sur son index qu'il porta à ses lèvres.
Le verdict ne se fit pas attendre : - C'est du sang, du sang humain dont se nourrissent ces plantes.