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Jean Héricourt était, avant la guerre, un athée convaincu. En 1941, il se convertit au catholicisme. Au printemps 1944, il est arrêté par la police militaire hitlérienne, le S. D. C'est alors la prison, Compiègne, Buchenwald. Quatorze mois d'une vie à laquelle la mort est préférable. À son retour, Jean Héricourt découvre la vie d'oraison. C'est ainsi que ce témoignage, laissant de côté les horreurs des camps de concentration, dégage surtout les leçons spirituelles de la terrible aventure.
Il finit sur un pardon puisé au Cour du Christ. L'auteur estime en effet, que la charité est le fondement le plus solide d'une réconciliation du couple France-Allemagne et, au-delà de ces deux peuples, d'une paix durable entre tous les hommes.