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  • FormatMP3
  • ISBN978-2-07-256172-6
  • EAN9782072561726
  • Date de parution10/09/2014
  • Protection num.pas de protection
  • Taille628 Mo
  • Infos supplémentairesaudio
  • ÉditeurGallimard Audio

Résumé

"Le cour de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps." Réparer les vivants est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cour, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour.
"Le cour de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps." Réparer les vivants est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cour, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

8 Coups de cœur
de nos libraires
Yann GDecitre Ecully
5/5
Maylis de Kerangal
"Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps." Le récit d'une transplantation cardiaque vue à travers les yeux de tous les maillons de la chaîne : les parents du défunt, l'équipe médicale, la personne qui recevra ce cœur tant attendu. Un roman fort, émouvant, servi par l'écriture si particulière de Maylis de Kerangal. Magnifique et bouleversant.
"Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps." Le récit d'une transplantation cardiaque vue à travers les yeux de tous les maillons de la chaîne : les parents du défunt, l'équipe médicale, la personne qui recevra ce cœur tant attendu. Un roman fort, émouvant, servi par l'écriture si particulière de Maylis de Kerangal. Magnifique et bouleversant.
Thomas C.Decitre Ecully
5/5
"Enterrer les morts, et réparer les vivants" : BOULEVERSANT <3
Autant se le dire tout de suite, ce roman est une claque. Une claque pour les sujets qu'il aborde : la mort d'un jeune garçon de 20 ans et la transplantation : le voyage, le parcours des organes d'un corps mort vers des corps malades. Une claque pour le style : pour l'émotion, pour la force que Maylis de Kerangal met dans ses mots. Décuplées d'ailleurs par leur économie, elle n'en dit, n'en fait jamais trop : ne verse pas dans le spectacle, le misérabilisme, la tristesse gratuite. N'appuie jamais sur le tire-larmes. Maylis de Kerangal ajuste la forme au fond, et use, pour un livre dévoilant les coulisses de l'hôpital, d'une écriture clinique : chirurgicale. S'attache à raconter les médecins, les patients, les familles, les vivants et puis les morts comme des hommes, comme des femmes, des êtres humains plus que des nombres. Ce livre est important, il sensibilise au don d'organes, et nous donne le choix, à tous, de mourir en héros.
Autant se le dire tout de suite, ce roman est une claque. Une claque pour les sujets qu'il aborde : la mort d'un jeune garçon de 20 ans et la transplantation : le voyage, le parcours des organes d'un corps mort vers des corps malades. Une claque pour le style : pour l'émotion, pour la force que Maylis de Kerangal met dans ses mots. Décuplées d'ailleurs par leur économie, elle n'en dit, n'en fait jamais trop : ne verse pas dans le spectacle, le misérabilisme, la tristesse gratuite. N'appuie jamais sur le tire-larmes. Maylis de Kerangal ajuste la forme au fond, et use, pour un livre dévoilant les coulisses de l'hôpital, d'une écriture clinique : chirurgicale. S'attache à raconter les médecins, les patients, les familles, les vivants et puis les morts comme des hommes, comme des femmes, des êtres humains plus que des nombres. Ce livre est important, il sensibilise au don d'organes, et nous donne le choix, à tous, de mourir en héros.
Elsa ChataignerDecitre Confluence
5/5
Un pur chef d'oeuvre
Une session de surf. L’accident. Mort cérébrale. Le cœur bat et peut être transplanté. « Si je ne pense plus, alors je ne suis plus. Déposition du cœur, sacre du cerveau ». Qu’est-ce qui fait de moi un homme ? Mon cogito ou mes émotions ? L’auteure s’empare des deux et va disséquer les sentiments et les émotions qui vont muer les personnages qui gravitent autour de ce cœur. Sa plume est concise, rigoureuse, fine. Chaque mot est trié sur le volet. Le geste est précis, le fil s’étire et se rétracte en fonction des chocs et de leur mise en conscience. Figure magistralement réussie. En refermant le livre le « Je » est transformé. C’est ça la littérature, l’art de métamorphoser, réparer les vivants.
Une session de surf. L’accident. Mort cérébrale. Le cœur bat et peut être transplanté. « Si je ne pense plus, alors je ne suis plus. Déposition du cœur, sacre du cerveau ». Qu’est-ce qui fait de moi un homme ? Mon cogito ou mes émotions ? L’auteure s’empare des deux et va disséquer les sentiments et les émotions qui vont muer les personnages qui gravitent autour de ce cœur. Sa plume est concise, rigoureuse, fine. Chaque mot est trié sur le volet. Le geste est précis, le fil s’étire et se rétracte en fonction des chocs et de leur mise en conscience. Figure magistralement réussie. En refermant le livre le « Je » est transformé. C’est ça la littérature, l’art de métamorphoser, réparer les vivants.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 36 notes dont 17 avis lecteurs
Simon Limbres est mort, mais son coeur, lui, survit.
Accidenté au retour d’une session de surf, le jeune homme ne survivra pas. Le corps médical - à la frontière d’un récit choral et intimiste - va tout mettre en place pour réussir une transplantation cardiaque. Dans ce récit à la tension extrême - vingt-quatre heures seulement -, Maylis de Kerangal cisaille son texte, le presse, le coupe pour n’en garder que l’essentiel. Pas de mise en forme traditionnel : tout se juxtapose, les guillemets sont absentes, les points finaux sont rares ; tout est virgule, la respiration est haletante, le rythme est à l’image du coeur, des battements de textes. D’une puissance folle, il ne suffit que de quelques pages pour happer le lecteur dans une expérience littéraire bouleversante. Sean, Revol, Marianne, Claire, … autant d’êtres humains dont leurs vies se croisent en cette journée autour d’un défi humain, quasi-métaphysique : celui de « réparer les vivants ». Sans mauvais jeu de mot, c’est un coup de coeur.
Accidenté au retour d’une session de surf, le jeune homme ne survivra pas. Le corps médical - à la frontière d’un récit choral et intimiste - va tout mettre en place pour réussir une transplantation cardiaque. Dans ce récit à la tension extrême - vingt-quatre heures seulement -, Maylis de Kerangal cisaille son texte, le presse, le coupe pour n’en garder que l’essentiel. Pas de mise en forme traditionnel : tout se juxtapose, les guillemets sont absentes, les points finaux sont rares ; tout est virgule, la respiration est haletante, le rythme est à l’image du coeur, des battements de textes. D’une puissance folle, il ne suffit que de quelques pages pour happer le lecteur dans une expérience littéraire bouleversante. Sean, Revol, Marianne, Claire, … autant d’êtres humains dont leurs vies se croisent en cette journée autour d’un défi humain, quasi-métaphysique : celui de « réparer les vivants ». Sans mauvais jeu de mot, c’est un coup de coeur.
quel ennui
L’idée de sujet est bonne , mais une écriture pompeuse qui fait que le livre a fini par me tomber des mains , et que je ne l'ai même pas termine.
L’idée de sujet est bonne , mais une écriture pompeuse qui fait que le livre a fini par me tomber des mains , et que je ne l'ai même pas termine.
  • Ennui
Un bijou
L'histoire d'une transplantation cardiaque, le point de vue des différents protagonistes : soignants, soignés, mort, vivants, famille ... Bien sûr, le héros est le coeur ; bien sûr, ce livre est très bien documenté (pour ce que je peux en juger) mais le dénominateur commun de ces lignes de vie est le temps ... suspendu, arrêté, fulgurant, fuyant, chargé de promesses ou de souvenirs ... Un bijou !
L'histoire d'une transplantation cardiaque, le point de vue des différents protagonistes : soignants, soignés, mort, vivants, famille ... Bien sûr, le héros est le coeur ; bien sûr, ce livre est très bien documenté (pour ce que je peux en juger) mais le dénominateur commun de ces lignes de vie est le temps ... suspendu, arrêté, fulgurant, fuyant, chargé de promesses ou de souvenirs ... Un bijou !
  • XXIe siècle
  • Bouleversant
  • Vibrant
Maylis de Kerangal
Romancière et éditrice, Maylis de Kerangal est née en juin 1967 au Havre. Élève au lycée Jeanne- d’Arc de Rouen, elle poursuit ses études supérieures en histoire, en philosophie et en ethnologie à Paris avant de trouver un emploi chez Gallimard Jeunesse. Elle quitte son emploi après deux séjours aux États-Unis avant de regagner la France pour y suivre des études en sciences sociales. C’est le début d’une carrière d’écrivain. Maylis de Kerangal publie de nombreuses œuvres dont l’une des plus remarquables est « Réparer les vivants ». Couronné par de nombreux prix, ce livre parle de la transplantation, du don d’organes. Sur un ton personnel et intrigant, Maylis de Kerangal raconte une histoire de cœur. La vie d’un jeune surfeur s’arrête prématurément et s’en suit une véritable mission pour prélever ses organes vitaux et les transplanter dans des patients qui s’en sortiront grâce à lui. Une histoire émouvante, difficile mais si profonde. Publié en 2010, l’ouvrage « Naissance d'un pont » a été un gros succès commercial. Maylis de Kerangal a même obtenu le prix Médicis pour cette œuvre. Elle y parle de la solidarité humaine, du brassage des peuples, la modernité, etc. C’est l’histoire de la construction d’un pont devant relier Coca à la rive voisine. Mise en œuvre par Georges Diderot, ce grand chantier va-t-il connaître une fin heureuse ?
Jour de ressac
4.5/5
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Maylis de Kerangal
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Naissance d'un pont
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Corniche Kennedy
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Maylis de Kerangal
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Abattoir 5
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Kurt Vonnegut
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Dans les rapides
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