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Le destin de Mallarmé n'aurait-il pas été différent, et sa dernière poésie, Un coup de dés jamais n'abolira le hasard, peut-être plus accomplie, s'il n'avait pas eu la hantise de s'arracher à lui-même, en espérant soumettre sa pensée aux possibilités transcendantes d'un logos universel ? Faire l'expérience des limites de sa pensée, n'est-ce pas plutôt une chance à saisir, qu'une catastrophe ? « Copyright Electre »