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« La majeure partie des livres est mauvaise, et on n'aurait pas dû les écrire. »Avec toute la rigueur du philosophe et son humour assassin, Arthur Schopenhauer s'insurge contre les auteurs, les traducteurs, les journalistes de son époque, ceux quiparlent pour ne rien dire, imposent le prêt-à-penser. Une plaidoirie implacable et une leçon de style mordante. Traduit de l'allemand par Auguste Dietrich.