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Avec les anciens du pays, François Bellon se remémore les coutumes, retrace les faits, ressuscite un langage. Il peint la vie d'autrefois, aux environs de 1920, dans son village du Valgaudemar, profonde vallée des Alpes, sur le flanc ouest du massif des Écrins. Les longues veillées d'hiver conviviales, les fêtes traditionnelles - laïques et religieuses -, les rudes travaux de la montagne sont évoqués, reflets d'un monde paraissant immuable, soudé dans une attachante solidarité.
Une « vieille vie » qui s'est éteinte au fil du siècle et que cette peinture vient avec bonheur sauver de l'oubli.