En 1869, Jules Verne publie le dernier tome de son diptyque lunaire « Autour de la lune ». Dans « De la Terre à la Lune », nous avions laissé nos trois héros, Barbicane, Ardan & Nicholl, dans leur projectile en route pour la Lune. La fin laissait supposer que celui-ci se perdait dans l'espace, n'ayant pu percuter notre satellite. Mais il n'en était rien, ce cher J-T Maston s'était trompé !
Quand j'ai découvert cela, je me suis dit tant mieux ! le premier tome était très long au départ, très éprouvant, pour ensuite devenir intéressant au fil du récit et devenir intéressant à
la toute fin, nous laissant sur notre faim. Ainsi il est indispensable de poursuivre par ce roman qui commence tout de suite dans l'action, là où nous avions laissé ce récit passionnant.
La première partie du livre, en route vers la Lune, est bourrée de dialogue et d'humour. Ainsi le livre se révèle très plaisant à lire et même d'avantage plaisant que d'autres Verne plus connu. Seulement voilà, une fois passé du côté obscur de la Lune, c'est la catastrophe pour un lecteur comme moi. Verne nous décrit minutieusement chaque relief de cet astre les mers lunaires, les terres lunaires, les altitudes, les formes, les reliefs… Bref des chapitres éprouvants qui m'ont presque fait refermer le livre alors que je le dévorais quelques pages avant. Et puis nous ressortons du côté obscur pour redescendre sur Terre, très (trop) rapidement.
Il est intéressant de voir que Verne était à ce point visionnaire (on ne le répétera jamais assez !) et particulièrement dans cet ouvrage qui nous fait largement penser aux missions Apollo :
- le départ au Cap Canaveral
- Trois astronautes dans la capsule
- Retour dans l'océan
Le roman possède un hypothétique coté science-fiction, notamment sur la croyance forte des aventuriers d'une vie lunaire complexe et civilisée. Enfin Verne ne manque pas de critiquer nos voisins d'outre Atlantique !
Ainsi, mon ressenti est mitigé, beaucoup de déception, moi qui m'attendait à découvrir des choses incroyables, je me suis plus lassé du caractère de la Lune.
Un seul tour et puis s'en va...
En 1869, Jules Verne publie le dernier tome de son diptyque lunaire « Autour de la lune ». Dans « De la Terre à la Lune », nous avions laissé nos trois héros, Barbicane, Ardan & Nicholl, dans leur projectile en route pour la Lune. La fin laissait supposer que celui-ci se perdait dans l'espace, n'ayant pu percuter notre satellite. Mais il n'en était rien, ce cher J-T Maston s'était trompé !
Quand j'ai découvert cela, je me suis dit tant mieux ! le premier tome était très long au départ, très éprouvant, pour ensuite devenir intéressant au fil du récit et devenir intéressant à la toute fin, nous laissant sur notre faim. Ainsi il est indispensable de poursuivre par ce roman qui commence tout de suite dans l'action, là où nous avions laissé ce récit passionnant.
La première partie du livre, en route vers la Lune, est bourrée de dialogue et d'humour. Ainsi le livre se révèle très plaisant à lire et même d'avantage plaisant que d'autres Verne plus connu. Seulement voilà, une fois passé du côté obscur de la Lune, c'est la catastrophe pour un lecteur comme moi. Verne nous décrit minutieusement chaque relief de cet astre les mers lunaires, les terres lunaires, les altitudes, les formes, les reliefs… Bref des chapitres éprouvants qui m'ont presque fait refermer le livre alors que je le dévorais quelques pages avant. Et puis nous ressortons du côté obscur pour redescendre sur Terre, très (trop) rapidement.
Il est intéressant de voir que Verne était à ce point visionnaire (on ne le répétera jamais assez !) et particulièrement dans cet ouvrage qui nous fait largement penser aux missions Apollo :
- le départ au Cap Canaveral
- Trois astronautes dans la capsule
- Retour dans l'océan
Le roman possède un hypothétique coté science-fiction, notamment sur la croyance forte des aventuriers d'une vie lunaire complexe et civilisée. Enfin Verne ne manque pas de critiquer nos voisins d'outre Atlantique !
Ainsi, mon ressenti est mitigé, beaucoup de déception, moi qui m'attendait à découvrir des choses incroyables, je me suis plus lassé du caractère de la Lune.