Parabole d'un amour dévastateur, où les sentiments hypertrophiés par la passion des corps, par le soleil brûlant qui embrase à peine touchées les peaux, où les mots deviennent des paroles d'églises païennes, où se calcinent les fièvres et les impatiences, où la raison meurt comme meurent
les jours d'été : dans un brasier d'une violence pure.
René Frégni, son Été, c'est le roman dans lequel l'homme se dévore lui-même, consumé par une inextinguible force qui le dépasse : la folie d'aimer.
L'homme serait ce soleil incapable de supporter sa propre chaleur.