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À découvrir
Un roman qui se laisse lire quand on n'a rien d'autre à se mettre dans les mains. Il est destiné à un public averti.
Du statut d'innocente, Anastasia passe directement à un monde où la lubricité et la violence font loi sous les traits d'un homme séduisant "Dieu du sexe". Quel revirement!
Si on laisse de côté la "qualité de l'écriture", les dialogues vulgaires, la couche de "Porn Mummy", on arrive à déceler une histoire qui mériterait d'être développée.
La détresse de Christian, qui cache autant qu'il le peut ses noirs secrets enfouis tout au fond de lui, qui ont détruits
son enfance et qui ont fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui. La tendresse d' Ana et l'amour qu'elle lui porte sauront-ils venir à bout de cette résistance à se livrer et à le libérer de cette carapace?
Le prochain volet aura-t-il plus de qualité que le premier, espérons-le.
J'avoue que j'ai du mal à comprendre le succès de ce livre, mais comme on dit, tous les goûts sont dans la nature, et le plaisir de lire commence bien quelque part...
Je n'ai jamais été autant déçue par un livre qu'en lisant "Fifty shades of Grey"...
Comme il faisait un buzz, je voulais voir de quoi il s'agissait pour pouvoir le juger et c'est donc en réussissant à ne pas me spoiler sur l'intrigue que je l'ai commencé. J'en suis au chapitre 17 (soit un peu plus de la moitié) et il est hors de question que je poursuive ! Mais c'est quoi ce truc ?! La critique trouve ça 'érotique' ?! C'est juste malsain, dérangé, détraqué, voyeur et complètement glauque o_O (en plus d'être écrit avec les pieds) Sérieusement, écrire un Twilight pornographique
pour adultes coincés, il fallait oser -_-'
Livre lu en numérique avant de voir les films qui ont suivis. J'ai adoré, j'ai dévoré le bouquin en à peine 2 jours ! Pourtant ce n'est pas du tout mon style de lecture à la base, c'était une première pour moi.
Si vous êtes étroit d'esprit et/ou coincé(e) passez votre chemin.
ATTENTION ! Si vous commandez le tome 1, vous ne recevrez pas la nouvelle édition avec comme couverture l'affiche du film mais la 1ère édition avec comme couverture la cravate grise. Je me suis faite avoir et étant déçue car pour moi c'est de la publicité mensongère, j'ai renvoyé le livre et j'attends
mon remboursement.
Tant pis je garde mon livre numérique
Etant donné que je vais aller voir l’interprétation cinématographique je me suis dis que ce serait une bonne idée que de relire la trilogie.
La première fois que j’ai lu ce livre je voulais comprendre pourquoi ce roman était autant emprunté dans la bibliothèque municipale où je travaillais. Alors certes ce n’est pas de la grande littérature, les personnages ou les situations sont parfois caricaturées mais moi j’ai vraiment accroché.
Anastasia Steele, en rendant un service à une amie, va faire la rencontre du richissime et puissant M. Grey. Elle va tout de suite tomber
sous son charme, et la réciproque est évidente. Mais ce M. Grey va la fuir car il n’est pas l’homme qu’elle recherche, il pourrait la blesser, lui faire de la peine. Sauf que leur attirance est trop forte et qu’ils vont tous les deux craquer. Mais la condition pour que cette relation démarre c’est qu’Anna accepte de devenir une soumise car Christian Grey ne peut avoir de relations sentimentales que dans une relation sadomasochiste où il va incarner le dominant.
Les personnages son très sympathiques, leurs échanges et leur relation qui évolue rythment la lecture. J’ai été parfois atterrée de certaines répliques ou situations, et j’ai souvent rigolé ou levé les yeux au ciel. Les pages se tournent facilement, et on entre bien vite dans le livre. L’univers de l’intrigue, les dialogues et les personnages sont très bien pensés.
Anna est très douce, c’est une jeune femme brillante et enjouée. Mais elle manque cruellement de confiance en elle. Sa rencontre avec Christian va la bouleverser et va la faire évoluer sur bien des plans et en général de façon positive. Christian quand à lui c’est un homme qui aime garder le contrôle dans toute situation. Grâce à Anna et à sa spontanéité il va s’ouvrir à la vie. Il va apprendre à rire, plaisanter, profiter des choses comme elle vienne. Au final les deux personnages vont se pousser (sans vraiment le chercher) à évoluer, grandir et c’est très intéressant. Ils sont bénéfiques à l’autre.
Lire la suite ici: https://mapetitecritique.wordpress.com/2015/02/16/cinquante-nuances-de-grey/
J'ai donc lu le premier livre de cette trilogie et j'avoue que ce n'est pas le genre de lecture que j'ai l'habitude de lire. En quelques mots : j’ai aimé et je vais lire les deux autres bouquins. Cette histoire me semble probable car, à part le contrat à signer qui est un peu tiré par les cheveux, Christian emmène réellement et progressivement Anastasie dans un monde inconnu pour elle. Le but recherché par EL James n’est nullement d’éduquer le lecteur aux pratiques sado-maso. Celui qui y cherchera du « Marquis de Sade » ou de la documentation sur les pratiques sado-maso se trompe de lecture. L’auteur relate une histoire entre deux êtres tout-à-fait différents : un homme jeune qui très tôt a été initié à certaines pratiques sexuelles très « spéciales » qui pour « aimer » doit dominer et faire mal et une jeune femme amoureuse qui désire plus que tout faire « plaisir » à son partenaire et décide d’essayer la « soumission » puisque lui en a besoin. On ne trouvera qu’une seule réelle scène de violence tout à la fin du livre, c’est trop pour Anastasia qui estime alors que Christian veut aller trop loin et le quitte.
Intriguée par le succès soudain de Cinquante Nuances de Grey et l'intérêt général porté à ce roman, je décide de le lire, en n'ayant aucune idée de son contenu au départ.
Et bien que l'écriture de James soit captivante, l'intrigue du roman et les personnages m'ont grandement déçue.
Soyons honnêtes, il ne s'agit pas là de grande littérature, mais plutôt de littérature de gare.
Ainsi, il m'a fallu du temps pour le finir, j'ai dû faire appel à toute ma volonté de lectrice assidue pour parvenir à tourner la dernière page. Je me disais que l'auteure avait peut-être un
dernier secret, une originalité à dévoiler mais non, rien.
Anastasia est une jeune femme qui n'a pas beaucoup sorti le nez de ses livres et qui a une expérience très limitée avec les hommes. Jusqu'au jour où elle rencontre Christian Grey, un richissime homme d'affaires. Le courant passe immédiatement entre eux.
Alors oui la tension sexuelle entre ces deux là est présente tout au long du roman. Les scènes de sexe sont nombreuses (une fois qu'ils ont commencé ils ont du mal à se réfréner) mais pas aussi émoustillantes que l'on a bien voulu le dire.
Anastasia est naïve certes mais elle n'est pas si cruche que ça et finalement je l'aime
bien ainsi que son amie Kate qui, à certains moments, m'a bien fait rire.
Quant à Christian Grey, ce personnage est à lui seul l'ensemble de tout ce qu'une femme souhaite avoir chez UN seul homme, le fantasme personnifié. Cet homme est un mythe mais il n'existe pas. Il est complexe, il a des blessures profondes. Pourquoi refuse-t-il d'être touché ? Qu'a-t-il subi dans son enfance ? pourquoi a-t-il des gouts aussi surprenants ?
Bien que le ne soit pas renversant et que les clichés sont nombreux : l'homme riche, la jeune fille naïve, la déesse intérieure (au secours !!), en refermant le tome 1, j'ai envie de savoir ce qui va leur arriver.
Vont-ils surmonter leurs différences ? Il y a un je ne sais quoi qui donne envie de savoir la suite.
C'est le buzz que les médias ont créé autour de ce livre qui m'a poussé à l'acheter pour savoir ce qui a pu créer ce phénomène planétaire dans ce livre. Tous les médias ont centré leurs commentaires sur le côté érotique de ce livre. Ce côté du livre existe bel et bien, c'est une partie à part entière de ce livre mais ce n'est pas tout le livre. Pour moi, ce qui fait que j'ai littéralement adoré ce livre c'est la relation entre Anastasia et Christian.
En effet, j'ai été fasciné par le comportement de Grey, ses mouvements d'humeur quasiment permanent et son besoin de vouloir
tout contrôler m'ont intrigué et m'ont poussé à vouloir à avancer dans le livre pour espérer avoir une réponse, dont j'ai eu une partie. Mais dont la plus grande partie se trouve sans doute dans les deux autres tomes.
Et il y a Anastasia, jeune fille naïve qui croit avoir rencontrer le prince charmant à leur première rencontre mais qui va très vite s'apercevoir que ce faux prince cache bien des choses. A son côté, elle découvre des émotions qu'elle ne pensait jamais pouvoir éprouver et elle va repousser sans cesse ses limites.
J'attends avec impatience la publication du prochain tome !
plat, creux, sans intérêt.
L'histoire cliché de la jeune fille si belle que tous les hommes aiment mais qui ne s'en rend pas compte rencontrant le beau, riche et célèbre prince charmant aux lourds secrets obscurs. Il n'y a rien dans ce roman qui puisse éveiller un quelconque intérêt. Le style est redondant, les dialogues dignes d'une série télénova à la "Santa barbara", les scènes de scène si nombreuses qu'elles en deviennent lassantes.
Lu après tout le monde, j'avais envie de me faire ma propre opinion sur ce roman qui a tant fait parler de lui...
J'ai aimé lire ce roman car, même si ce n'est pas de la grande littérature, cela est avant tout une histoire d'amour entre deux personnes à première vue incompatibles. Ok, il y a des scènes érotiques mais cela reste tout à fait "supportable".
J'ai aimé et je compte bien lire le tome 2 et 3
Je ne sais pas par où commencer cette critique sur Cinquante nuances de Grey de E L James. Peut-être par résumer les personnages et l’histoire, enfin, si on peut appeler cela une histoire.
Tout d’abord, il s’agit d’une jeune femme, prénommée Anastasia Steele, 21 ans. Cette femme, qui est alors étudiante et qui vit avec sa meilleure amie Kate, va devoir interviewer Christian Grey, un jeune homme richissime, qui va totalement dérouter Anastasia. Elle est, si je peux me le permettre, un brin schizophrène tout de même, elle entend une voix qui lui parle et elle détient une déesse
intérieure, ce qui n’est pas donné à tout le monde ! (Un peu d’humour, ça fait du bien à la fin d’une lecture de ce genre !). Elle ne connait strictement rien en amour, elle n’a jamais aimé personne. Et pourtant, c’est cet homme qui va changer le cours de son existence…
Puis il y a Christian Grey, 27 ans. Un homme richissime, malgré son jeune âge, qui aime tout contrôler et qui ne se prive de rien. Bien sûr, en plus d’être riche, il est d’une beauté à faire tomber les femmes de la terre entière et intelligent… Le vrai prince charmant jusque-là. A la lecture de ce premier tome, j’ai trouvé parfois Christian Grey ingrat, sans en connaître encore sa vraie nature. Il s’en révèle, au fur et à mesure des pages, que Christian Grey est un homme sadomasochiste, il aime dominer et donc que les femmes se soumettent entièrement à lui, ce qui ne m’a pas étonné vu la première impression que je m’étais faite de lui. Christian Grey reste mystérieux. Et c’est là que toute l’histoire va commencer…
Comme l’annonce mon début de critique, ce livre n’est pas un coup de cœur, loin de là. J’ai lu ce livre parce qu’on me la prêté, mais aussi parce que je lis beaucoup de critiques à son sujet et donc, je voulais m’en faire ma propre opinion.
Pour moi, il n’y a pas d’histoire plus banale que celle-ci. Au fond, si on enlève le sadomasochisme, il n’y a rien. C’est un livre qui se lit très vite et qui n’a rien d’une grande écriture, bien loin de là. Je trouve ce livre répétitif, barbant parfois, un peu lourd aussi, parce que si nous enlevions les scènes de sexe, il ne se passe strictement rien. Vous allez me dire que le sexe fait l’histoire… C’est vrai, c’est ce que je pense, sinon, le livre n’aurait pas lieu d’exister.
Mais en dehors de tout ça, je ne sais pas pourquoi, je le trouve prenant tout de même et je ne compte pas m’arrêter là et commencer très rapidement le deuxième tome, parce que même si j’ai un peu de mal avec le sujet, que je trouve cela parfois barbant, cela fait du bien de lire des livres simples, sans trop se prendre la tête puis je l’avoue, la personnalité de Christian donne envie d’en savoir plus, sur son passé, sur les raisons qui l’ont poussé à devenir comme ça, à aimer d’une façon sadomasochiste et non « vanille » comme il le dit.
Je sais, ma critique est complètement contradictoire, tout comme ce livre l’est au final ;-)
il est beau,riche mais inaccessible car cache un sombre secret..elle est belle mais pas du tout consciente de sa beauté..gauche et manque d'experiences...ça fait cliché à mort!décévant!
Voilà enfin mon avis sur ce livre gagné l'année passée il me semble lors des jeudis critiques. j'ai commencé à lire ce livre sitôt reçu et franchement j'en suis très déçue, il a trainé jusqu'à lors sur ma table de nuit en attendant que je le termine. En grande lectrice j'ai trouvé que le style de l'auteure (ou alors du traducteur) ou plutôt devrais-je dire l'absence de style est aberrante. Les scènes de sexe sont plutôt bien décrites mais en dehors de celles-ci les dialogues sont creux, plein de répétitions (oui on a compris qu'elle se mordille les lèvres ...) et franchement je trouve que ce livre ne mérite pas son succès. Il s'agit en tout et pour tout que d'un roman type Harlequin qui fait 400 et quelque pages et en plusieurs tomes qui plus est. Inutile donc de vous dire que je ne vais pas lire les suites...
Pour ceux qui ont aimé le film "9 semaine 1/2", ou, comment se donner à l'autre par amour, lorsque la passion prend le pas sur la raison...
C’est la première fois que je lis un livre de ce genre-là, donc je n’ai pas de point de comparaison. Ayant lu quelques critiques auparavant, je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus "hard", et en fait non ça ne m’a pas choquée tant que ça. Même si certains dialogues sont assez crus, l’écriture reste érotique sans être vulgaire. Certes, il n’y a pas vraiment d’histoire, mais l’écriture est agréable, on ne s’ennuie pas et on ne voit pas les pages défiler. J’aurais aimé qu’il y ait plus de pauses entre les ébats pour laisser au lecteur le temps d’en apprécier la lecture. Globalement, j’ai bien aimé ce bouquin et j’attends de lire les prochains tomes pour voir d’où proviennent les pratiques spéciales de Christian Grey !
Une lecture commence parfois par peu de choses : une rumeur sur internet parlant d'un livre, un reportage au journal de France 2 sur le succès qu'il rencontre Outre-Atlantique (plus de 30 millions d'exemplaires vendus), une discussion entre collègues et une envie d'une lecture totalement différente, en anglais en plus. Voilà ce qui m'a poussé à mettre de côté ma lecture des Très riches heures de l'humanité de Stefan Zweig pour me plonger dans ce roman dont tout le monde parle autour de nous. Enfin, quand je dis tout le monde, ce sont surtout des femmes. Il s'agit ici du renouveau d'un
genre qui existe pourtant depuis pas mal de temps (Les infortunes de la Belle au bois dormant d'Anne Rice sont là pour le prouver) mais qui arrive à point nommé pour encanailler quelque peu les adultes bercées par Twilight et autres romances qui ne vont parfois pas assez loin.
Ici donc, nous suivons Anastasia Steele, autrement appelée Ana, 22 ans, jeune étudiante sur le point d'avoir son diplôme, dans sa rencontre avec un certain Christian Grey, 27 ans, homme terriblement beau et intimidant, qui possède déjà sa propre entreprise florissante. Que fait-il ? Des affaires. Nous n'en saurons guère plus, si ce n'est que monsieur lutte aussi contre la famine dans le monde. Ne rigolez pas, je suis sérieuse ! Eh oui, nous sommes dans un monde moderne, plein de MacBook, Blackberry et autres objets technologiques, mais les vieux clichés ont la vie dure. Monsieur est donc mystérieux, ténébreux, tourmenté. Mademoiselle est innocente, a attendu le bon moment pour tomber dans les bras d'un homme, pleine de surprises. Mais bizarrement prévisible dans ses réactions, du moins pour le lecteur : elle se mord la lèvre, fronce les sourcils, réfléchit trop et essaie de décrypter tout ce que dit Monsieur, cherchant un sens caché.
Je ne parlerai pas ici de l'écriture. Je ne suis pas assez calée en anglais pour pouvoir en juger. Sachez seulement que j'ai pu le lire sans aucune difficulté. Si quelques mots m'ont échappé, l'ensemble est tout à fait compréhensible et le contexte permet de saisir l'idée générale. Ceci me fait dire que nous ne sommes pas devant de la "grande" littérature. En même temps, ce n'est pas non plus ce que l'on recherche en se penchant sur ce type de roman... Notons tout de même que les mêmes mots reviennent assez fréquemment :
- il y a bien un "holy shit/crap/Moses/cow/fuck/god" toutes les deux pages,
- le monsieur est terriblement autoritaire, je crois que nous l'avons bien compris avant même de lire le livre. Ana semble le découvrir à chaque chapitre : "He's so bossy !".
- Ana trouve Christian terriblement beau. Là, nous avons droit à quelques synonymes, au moins, cela varie un peu.
Quant à l'histoire elle-même me direz vous ? Ils se rencontrent, ils se draguent, il lui montre la vie, elle hésite à accéder à ses demandes un peu particulières, il lui montre gentiment de quoi il est question, et elle passe son temps à se demander si c'est moralement bien d'accepter et d'aimer ce qu'il lui fait. Voilà, je vous ai résumé 528 pages en 3 lignes. N'en attendez pas plus. Le reste n'est que scènes de sexe après scènes de sexe. On pourrait vite en faire une overdose tant c'est répétitif et sans surprise. Si nous pouffons de rire au début, et que nous rigolons bien entre copines à discuter de notre lecture, reconnaissons que cela devient vite lassant.
De plus, Ana a la fichue manie de faire parler son subconscient, terriblement coincé et prude, et sa déesse intérieure, complètement débridée. Chacun joue le rôle de l'ange et du démon sur ses épaules, lui donnant conseils et avertissements.
Je mets volontairement à part la scène où, pour la première fois, Ana se fait fesser. J'avoue avoir été mal à l'aise et quelque peu écœurée devant sa réaction. L'état dans lequel elle est à la fin de la petite séance est assez perturbant et, tout comme son amie Kate, j'ai eu terriblement envie de lui dire de larguer le bonhomme vite fait bien fait. Clairement, on sent un lien malsain entre les deux, de soumission pas complètement assumée de sa part à elle. L'auteur l'a-t-elle senti elle aussi, que par la suite elle tente désespérément de nous attendrir sur les malheurs de Christian, qui ont fait de lui ce qu'il est ? Peut être. Mais ça ne suffit pas à en faire quelqu'un de sympathique et fréquentable. Comme toute la relation est vue à travers Ana, de toute façon, nous sommes forcées de nous apitoyer.
Pourtant, il n'est au final que peu question de SM (oui, si vous n'aviez pas encore compris, c'est cela les pratiques peu courantes de Christian Grey). Ne vous attendez donc pas à de la souffrance en veux tu en voilà. Dans l'ensemble, cela reste assez classique, bien loin des Infortunes de la Belle au bois dormant dont je parlais plus haut.
Notons que monsieur a également un réel problème avec la nourriture et refuse catégoriquement qu'on le touche. Le lecteur n'aura pas l'explication du pourquoi dans ce premier tome. Dès fois que cela suffise à nous tenir en haleine pour lire la suite... Personnellement, je m'en moque. Je laisse ces deux personnages à leur relation, si elle leur convient, et je m'en retourne vers des cieux plus classiques. Stefan Zweig m'attend !
http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2012/09/fifty-shades-of-grey-el-james.html
C'est la première fois que je m'adonne à ce genre de littérature. Je n'ai jamais lu d'histoire érotique. On en a tellement entendu parlé que cela a attisé ma curiosité. J'ai trouvé le début un peu lent. Ce livre ne m'a pas tout de suite emballée. L'écriture est simple mais pas simpliste.
Puis je me suis accrochée aux personnages et notamment à Grey que j'imagine sexy. C'est vrai qu'il m'a fait rêver même fantasmer un peu malgré ses tendances sadiques. Je ne suis ni sado, ni maso mais j'avoue que l'histoire est sexy quand même. Je n'ai pas été choquée par le langage un peu
cru ni par les pratiques du personnages. C'est de la fiction.
Pas de prise de tête, un peu de sensations voire même de frissons et alors? Pas de mal à se faire du bien!
Livre polémique, on en a parlé dans la presse à cause de son caractère pornographique. Mais ce n'est pas cela il faut regarder plus en profondeur. Il s'agit d'une très belle histoire d'amour entre Christian et Ana, 2 personnes très attachantes. Ils vont apprendre à s'aimer malgré leur différence et leur blessure. Il faut regarder au delà de l'histoire de sexe.
Attention, livre très addictif. Je suis tombée dessus par hasard au moment de sa sortie en librairie (bien avant tout le tapage médiatique auquel il a eu droit!). Le résumé de la 4ème de couverture, me promettait une belle histoire (parfait comme livre a emporter dans sa valise). Je n'ai pas été déçue. Ce livre n'est pas comme les nombreuses critiques veulent le faire croire un "porno mum", en tout cas je ne l'ai pas perçut comme cela.
J'ai enchaîné les 3 tommes et me suis retrouvée dépitée en fermant le 3ème : mais que vais je devenir sans eux (les personnages), et que vais
je bien pouvoir lire maintenant ??? ....
Comme tous le monde, j'ai voulu lire ce livre best-seller, j'ai été vraiment deçue dans l'ensemble, écriture plus que simpliste, histoire sans frisson voire plutôt banale. Livre dit érotique mais qui est plutôt vulgaire, personnage féminin plutôt gourde et naïve un peu trop dans le stéréotype de la vierge qui découvre la vie amoureuse, cela manque beaucoup de caractère. La relation SM dominant-dominée est mise en avant mais ce que je trouve vraiment dommage c'est que le personnage de la femme est réduit à une personnalité vide, outre le fait qu'elle soit dominée elle a l'air
d'être vraiment stupide, pense mais n'ose pas agir.
Une pensée très fermée de ce monde SM dominant-dominée qui heureusement en général ne ressemble pas à ce que décrit ce livre qui l'annonce comme quelque chose d'un peu marginale.
l histoire d une jeune vierge qui rencontre un bel homme richissime et qui a des pratiques sexuelles bien differentes de ce que la jeune vierge aurait pu imaginer...ouaaah c est super!!!
ce livre se lit bien , l ete sur une plage c est ecrit a la facon des harlequin de l epoque.c est un peu gnangnan et cette fille qui n arrete pas de jouer les saintes ni touche devient bien vite fatiguante...
Madame E-L James a eu beaucoup de chance de tomber dans la bonne periode , car beaucoup de romans dans le meme style sont passés inapercu
Il ne faut pas y voir qu'une histoire de fesses, et bien moi j'ai aimé, je resumerai l'histoire par "jusqu'ou peut on aller et endurer par amour" le style est clair et epuré, l'histoire est interessante, les chapitres sont courts et on a envie de tourner la prochaine page a chaque fin de chapitre - les personnages sont attachants, le seul bemol pour la chute du livre, heureusement qu'il y a un tome 2 sinon j'aurai ete fortement deçus
Un succès fabuleux pour ce livre, je ne pouvais fermer les yeux et ne pas m’intéresser à ce phénomène. Malheureusement, ce sera le premier livre que je ne terminerai pas.
Je n’ai pas envie d’être désagréable par respect envers les fans mais tout de même, annoncé comme un roman érotique, je me disais que les citations journalistiques n’étaient que des passages rares pour faire le buzz. Mais non.
J’ai été très mal à l’aise durant ma lecture, le vocabulaire est très vulgaire, très cru (pilonner, baiser, défoncer...), si bien que je rapprocherais plus ce livre
à de la pornographie plutôt qu’à de l’érotisme. Je suppose que cela doit dépendre de la définition que l’on porte à ce mot mais l’érotisme est pour moi quelque chose de poétique, d’imagé, de sensuel... Bref rien de tout ce que contient ce livre.
Au-delà de ça, l’histoire est vide, sans savoir si plus tard il va se passer quelque chose mais pour le moment, on suit une étudiante qui tombe amoureuse, qui fait des allers retours entre sa chambre et celle du milliardaire avec une remise de diplôme entre deux.
Bref je n’ai pas trouvé un intérêt à ma lecture et je me garderais la prochaine fois, de m’intéresser à ces livres qui font le buzz sans raisons valables.
Ouf j'ai terminé le navet de l'année 2012 et j'ai réussi à être déçu alors que vraiment je ne m'attendais à rien de bon... Plus encore que le style déplorable, c'est l'absence totale d'histoire qui m'a vraiment déçu. 379 pages redondantes lors desquelles le sublime et génial chef d'entreprise Christian Grey initie la jeune pucelle Anastasia Steele aux pratiques sado-masochistes. Les mêmes termes et les mêmes tournures reviennent sans arrêt, sans parler du contrat qu'il essaye de lui faire signer et des emails échangés qui représentent la moitié de ce roman de gare façon Arlequin.
Ce livre n'est pas particulièrement bien écrit et manque d'un certain style. En revanche il a l'art d'être captivant. Si les descriptions ne sont pas très bonnes, elles ont l'avantages d'être assez évocatrices mais imprécises, laissant donc une grande part à l'imagination.
Une oie blanche tombe raide dingue du beau (et richissime) PDG d'une compagnie. Un simple regard la liquéfie sur place, elle l'a dans la peau. Mais ce mystérieux personnage commence à lui parler d'un contrat, de relation Dominant (lui)/Soumise (elle)... Pour la jeune étudiante qui est encore vierge, c'est un peu l'angoisse...
Ok, j'ai cédé à la curiosité mais au bout du compte, j'ai trouvé ce que je pensais trouver, à savoir un roman à l'eau de rose très pimenté. Pas d'histoire, des personnages hyper stéréotypés et puis le SM, c'est pas du tout ma tasse de thé. Bref, aucun
intérêt mais j'ai tout lu quand même, je tiens à être honnête ! ;-)
J'ai été déçu par le livre... c'est d'ailleurs souvent le cas lorsqu'il y a un débat autour d'une parution, tout le monde donne tellement son avis que l'on s'attend au livre du siècle... Bref j'ai été déçu par les scènes érotiques qui sont pour ma part trop nombreuses, trop longues et parfois inutile. J'aime bien l'histoire malgré le coté un peu trop fleur bleu, je suis donc mitigée dans ma critique et je demande quand même à lire la suite...
Premier tome de la trilogie Fifty Shades, cet opus est sensé nous mettre dans le bain et nous initié. Ayant lu mon dernier « Harlequin » il y a trente ans, je me suis dit que j’étais prête pour un roman érotique et/ou pornographique populaire, destiné aux femmes d’âge mûr. Mettons les points sur les i, ce roman peut être lu par tous, hommes ou femmes, de plus de 15 ans, cherchant à se distraire et peu regardant sur la qualité d’écriture. On peut sauter des pages entières sans perdre le fil de l’histoire d’Anastasia et de Christian, les lecteurs romantiques passeront les scènes pornographiques tandis que les autres (pervers …) se focaliseront sur celles-ci. J’ai tout lu et … je me suis ennuyée, amusée, j’ai même ri, j’ai soupiré à la énième répétition tant le vocabulaire est pauvre et restreint, j’ai aimé l’humour des échanges de mails, j’ai apprécié les détails de pratiques SM (que je ne connaissais pas), je me suis lassée des inepties d’Ana pourtant étudiante en littérature, j’ai pesté contre l’irréalisme des situations, j’ai trouvé que Christian avait vraiment l’esprit tordu mais était d’une patience d’ange. Seule bonne idée dans ce roman, faire intervenir la « bonne conscience » d’Ana sous forme d’une bibliothécaire binoclarde et « sa déesse intérieure » en pin-up sportive qui se rappellent régulièrement à son esprit. En bref, lisez ce livre pour vous faire un petit plaisir, une récréation ou vous donnez des idées (au cas où), repassez-le à un/une copain/copine sans regret, n’attendez pas qu’il vous bouleverse ou vous surprenne. La lecture de ce livre m’a fait penser à une soirée pyjama entre copines : superficielle, rigolote, déjantée, musicale, rose bonbon et excitée.
J'ai lu ce livre, surtout par curiosité !!!
Et j'ai vraiment aimé, le personnage de Christian est charismatique, particulier certes, mais c'est également cela qui fait son charme.
L'histoire est facile à lire, j'aime bien les petites pointes d'humour que l'auteure fait en faisant parler "et la conscience et la déesse intérieure" de l'héroine.
Rien n'est choquant car tout est très bien amenée.
J'ai passé un bon moment de lecture !!
Alors Cinquante Nuances de Grey est the coup de coeur de cette fin d'année. Alors je vois d'ici certain(es)s me dirent oui il y a du sexe, oui il y a un rapport de domination/soumission et la femme est soumise et blabla et blabla. Mais pour moi, honnêtement si vous vous arrêtez à cela, vous n'avez pas compris le livre. Car quand vous vivez en couple avec quelqu'un, que vous allez travailler, vous avez un lien de subordination ou autre. Mais bon, là n'est pas le sujet.
J'ai adoré l'histoire, la relation entre Ana et Christian. Ce lien qui les unit dépasse de loin la relation mentionnée
dans le contrat. Pour moi, ce livre est un renouveau dans le domaine de la littérature, cela va permettre de découvrir un nouveau genre, d'apporter un nouveau souffle à la littérature contemporaine. Bref, vous l'aurez compris, c'est un immense coup de coeur, je le recommande vivement que vous soyez homme ou femme. Ce livre ne laissera pas indifférent que ce soit en bien ou en mal.
Dès le début on a envie d’arrêter, c'est très mal écrit, l'histoire (si on peu appeler ça une histoire) est extrêmement plate. Il faut bien attendre la moitié du livre pour lire une scène érotique.
Ce livre est loin d'être à la hauteur du tapage publicitaire qu'il a engendré. Je l'ai lu entièrement juste par respect pour mon porte monnaie.
Ça y est je me suis décidée à lire ce fameux bestseller dont tout le monde parle, parfois en bien (pour des raisons qui ne m’attiraient pas plus que cela), parfois en mal (car soit disant mal écrit, trop téléphoné, plein de clichés etc…), histoire de me faire ma propre idée.
Contrairement à certains lecteurs bobo élitistes ‘’pseudo-intellectuels’’ qui l’ont vivement critiqué, mon avis sur ce roman est plutôt nuancé (sans jeu de mot ;) ). En effet, même si certains aspects de ce livres m’ont moins plu que d’autres, j’ai choisi de prendre ce roman
pour ce qu’il était, sans lui reprocher de ne pas être ‘’ce qu’il n’a jamais prétendu être’’. Je vous épargnerais ici le long et fastidieux résumé que vous trouverez sur Amazon et un peu partout d’ailleurs, pour aller directement à l’essentiel : mon ressenti ! Et puisqu’on garde généralement le meilleur pour la fin, commençons par ce que j’ai le moins aimé dans ce roman :
(...)
Critique complète et détaillée sur ma page car trop long : https://www.facebook.com/notes/the-dark-moon/mon-avis-sur-cinquante-nuance-de-grey-de-e-l-james/10151772720065130?notif_t=like
Bon les filles… Dieu existe ! Si. Incarné dans sa forme humaine, qu’on s’entende bien. Bah sinon, ça servirait à rien d’en parler. J’imagine déjà les mauvaises langues déverser leurs flots de commentaires acerbes : « ouais, ton Dieu, c’est un Dieu de papier ! Facile de l’imaginer réel alors que Christian, ben c’est dans les trois tomes d’un bouquin qu’il existe ! Et les bouquins, c’est pas du vrai ! ». Gna gna gna et gna gna gna. On n’lui fait pas à Elle ! Ça s’inspire de la réalité un auteur ! Ben oui. EL James, elle ne l’a pas sorti de nulle part son
beautiful Christian Grey.
Donc Dieu est humain. Si. Avec ses deux facettes. La sombre (quoi que, est-ce si sombre hein les gourmandes ?) et la délicieuse… Parfait gentleman, respectueux, à l’écoute, anticipant les (très nombreuses) attentes féminines, beau et riche (oh ça va les vipères, on s’calme !). D’abord la beauté est une chose toute relative, donc chaque gentleman a sa chance. Ensuite, riche, Elle le met en dernier. Si. Parce que finalement, c’est peut être ce qui le gâche le plus Christian. L’est trop riche le garçon. Ça gène un peu aux entournures. Trop, c’est toujours trop. D’ailleurs, Anna, par moment, elle en peut plus de son fric-qui-peut-tout-acheter-même-l’inachetable à Christian.
Nan, le plus important, c’est qu’il connaît le corps des femmes à la perfection et qu’il est capable de se remettre en question ! Et là, ça tripe grave ! On en rêve toutes de celui-là ! Et si certains mecs s’indignent de cette concurrence (parfaitement) déloyale, qu’ils LISENT ce livre. Nan parce qu’on a tous à apprendre. À tous les niveaux. Sexuel (certes) et relationnel. C’est plein d’idées à piquer (miam !) et de leçons de patience et de compassion à prendre. Parce que finalement, au-delà des (nombreux) ébats vanilles ou pimentés qui nourrissent l’imagination, Christian et Anna font un sacré chemin l’un vers l’autre. Et c’est ça l’Amour, nom de Dieu !!!!!
Bon je suis honnête, j'ai acheté ce livre pour faire "comme les copines" comme on dit. En fait j'ai entendu parler de ce livre, enfin surtout de sa polémique et, comme j'aime bien les livres "à polémiques" j'ai joué ma curieuse.
Bref, si on cherche une histoire dans "l'histoire" mieux vaut passer son chemin. L'histoire d'Ana en elle même est fade et sans grand intérêt et de toute façon pas le sujet du livre.
Maintenant il ne faut pas se voiler la face, si on achète et lit se livre c'est bien pour son "histoire". Se côté mystérieux, tabou voir pour certaines d'entres nous interdit...
Donc
pour résumer, mis à part le début de l'histoire d'amour/soumission entre Ana et Christian, des scènes soft où crues selon les interprétations c'est tout ce que l'on trouve.
Ce qui ne m'empêche pas de lire actuellement le deuxième volet parce que j'ai bien envie moi de voir jusqu'où ça va aller tout ça!
ayant beaucoup entendu parler de ce livre je n'ai pas été déçu, on entre de suite dans l'univers des personnages qui sont intriquants et captivants; on a envie de les connaitre plus et de les pousser dans leur décisions...
Frôle le type de livres collection harlequin.
On m'a preté le livre sans me donner le moindre avis. J'ai commencé la lecture et après un premier aperçu eau de rose j'ai eu peur d'être choquée quant j'ai compris le théme mais non pas de scénes extravagantes, lecture qui se déroule sans rebondissement, il se lit bien mais sans engouement. Par contre on a une très bonne surprise à la fin, il devient prennant......
Dommage d'attendre autant de pages.
Au début tenté par des copines, puis ensuite revenu sur l'idée à cause des critiques trouvés dans les médias, je me suis résolue à l'acheter.
Le départ est assez long, mais une fois l'histoire lancée j'ai dévoré le bouquin en une nuit et une journée.
Ana est un peu pénible, à parler avec sa déesse intérieure et sa conscience, mais on a envie d'en savoir plus sur ce beau Christian mystérieux. A la fin du tome un, on a toujours un doute sur ce qu'il pense, sur ses sautes d'humeur, mais aussi très envie de savoir comme il va s'y prendre dans ses prochains ébats :D
Ça
reste quand même super soft, il n'y a pas de vulgarité.
Bon, il ne faut pas y chercher beaucoup de profondeur, ni de la grande littérature mais pris pour ce qu'il est, un divertissement, ce livre se lit bien et on s'attache aux personnages. Pour ma part, je ne suis pas hostile à la lecture du tome suivant...
en effet LE roman sexuel de l'année dévoile beaucoup de sensibilité et de d"sirs mais que sa fait du bien !
Alors oui, il y à des articles dans tous les magasines féminins (elle, glamour, public .. ) mais ce roman
Voila ma critique de cinquante nuances de Grey d'EL James
http://tribulationsdunevie.blogspot.fr/2012/10/50-nuances-de-grey.html
Avis partagés pour ce roman, l’auteure utilise des « grosses ficelles » pour nous décrire, cette histoire d’amour idyllique. Le coup de la pauvre jeune vierge qui tombe amoureuse du richissime homme d’affaires, c’est du déjà vu. Pas d’immense plaisir donc à lire ce bouquin, mais les gourmandes admettent que le style de l’auteur est plutôt sympa et que ce livre se lit facilement. Un conseil : si les scènes d’amour sont nombreuses, on peut facilement les zapper sans perdre le fil de l’histoire, surtout si on n’apprécie guère les relations de soumission entre un homme et une femme. En revanche, on peut déplorer qu’une femme qui écrit sur un sujet comme la sexualité, entre dans les clichés masculins et ne soit pas plus originale. C’est un peu plat, c’est dommage. Un tel sujet abordé par une femme, aurait pu apporter du neuf et même de la subtilité (au moins un peu).
Impossible de me détacher de ce livre, j'ai vraiment du mal à éteindre la lampe de chevet, j'en veux plus à chaque page...mes pensées en sont bouleversées...des papillons dan le ventre...je cherche "Christian"...Ouah! c'est bien la première fois qu'un livre me fait çà !!!..totalement addictif !!!
J'ai adoré ce livre que j'ai trouvé passionnant, ce n'est pas de la grande littérature et certaines répétitions m'ont gênées mais j'ai vraiment accroché à l'histoire.
J'ai lu le deuxième tome que j'ai tout autant aimé et j'attends maintenant le troisième avec impatience.
Les papillons dans le ventre ne m'ont pas quitté et je comprends mieux tout le buzz autour de cette trilogie. Bien entendu la midinette que je suis (et oui je ne m'en cache plus maintenant et je l'assume complètement !) vous recommande chaudement ce magnifique premier tome. Pour moi ça a été une révélation et je crois qu'à l'avenir je vais lire encore plus de romances qu'à l'accoutumer.
Mon avis au complet ici :
http://sook-book.over-blog.net/article-cinquante-nuances-de-grey-de-el-james-114086176.html
Mon avis va être vraiment très bref, puisque je me suis arrêtée à la moitié du livre.
Je n'ai pas du tout été charmée par ce roman.
Le personnage de Christian m'a énervée. C'est un homme tout ce qu'il y a de plus vulgaire. Il paraît énigmatique au départ, puis au fur et à mesure qu'il fréquente Ana, je l'ai trouvé de pire en pire. Sa chambre rouge et son contrat ne sont certes pas ma tasse de thé, mais ce n'est pas ce qui m'a dérangée (car après tout, je savais ce que j'allais lire !). Ce qui m'a agaçée, c'est la façon de parler de Christian. A-t-il besoin de dire
à Anastasia "Je veux te baiser" chaque fois qu'elle se mord la lèvre ? Ne peut-il pas simplement dire "J'ai envie de toi" ou un truc du genre ?
Il en va de même pour les réfléxions intérieures d'Ana, qui pense qu'elle en train de se faire "pilonner" par Christian pendant leurs ébats (ou qu'elle le "pompe avidement").
Parlons un peu d'Ana. J'avoue ne pas avoir compris ses motivations. J'ai eu l'impression qu'elle acceptait tout et n'importe quoi de la part de Christian, sous prétexte qu'elle le trouve "trop trop beau". C'est un peu limite non ? Qui signerait un contrat de soumission simplement parce que le mec a une belle gueule ?
En fait, Ana l'innocente, la vierge naïve, a surtout la dalle et ne sait plus se contenir face à Christian. Un peu de classe ne lui aurait pas fait de mal.
Je m'attendais à quelque chose d'un peu plus "raffiné" malgré le sujet un peu particulier (sexe, la relation dominant/dominé). Pour moi ce n'est pas une histoire d'amour (en tous cas dans la première moitié du roman). La fin est peut être bien, mais vraiment, je n'ai pas du tout envie de la lire !
Comme beaucoup peut-être, j'ai voulu lire ce bouquin afin de me faire ma propre opinion. On en entendait tellement parler...
Première impression après avoir lu quelques pages : style très simple, qui ne "vole pas très haut" et qui permet une lecture très rapide. Pas de la grande littérature, mais ce n'était pas ce que j'en attendais non plus.
Les 100 premières pages restent relativement soft, et puis cela commence, on entre dans le vif du sujet...
C'est cru, très cru ! À tel point que l'on se sent parfois mal à l'aise face au récit ; je ne suis pas particulièrement prude, mais
c'est du moins ce que j'ai ressenti à la lecture de certains passages.
Bref, un livre pour lequel le marketing a très très bien joué son rôle et qui ne justifie pas, selon moi, cet engouement...
Je l'ai acheté par effet de mode car tout le monde en parlait. Et il a été à la hauteur de mes attentes. L'écriture étant fluide, il se lit en très peu de temps. 3 jours pour ma part. Les scènes de sexe ne sont pas trop hard pour plaire au plus grand nombre. Et enfin, la relation entre les deux personnages principaux est tellement intense que j'ai l'impression d'être à la place de la fille.
J'ai adoré ce livre. J'ai hâte de lire le 2.
Anastasia Steele, jeune étudiante, maladroite et peu sûre d’elle, doit interviewer pour le journal des étudiants, Christian Grey, milliardaire et mécène de l’université. Entre eux, une tension électroco-érotique est immédiate. Seulement, Ana est une jeune femme inexpérimentée et Christian adepte du contrôle est un dominateur qui veut en faire sa soumise. Mais sera-t-il prêt à en faire « plus » pour elle ?
Alors voilà moi aussi, j’ai tenté l’expérience Cinquante nuances de Grey et je dois dire que je comprends un peu mieux l’engouement autour de ce roman.
Dès les
premières lignes, on se rend compte que l’on n’a pas affaire à de la grande littérature mais plutôt à un bon Harlequin. D’un autre côté, je ne m’attendais pas non plus à être époustouflée par le style ! Et la preuve, le roman fonctionne très bien ainsi. Tous les ingrédients pour séduire un large public (féminin de préférence) sont là : histoire d’amour, personnages caricaturaux, sexe, argent….et surtout c’est une série ! Les lecteurs sont donc sûrs de retrouver les personnages auxquels ils se sont attachés dans deux autres tomes.
Par contre, j’ai pu lire par-ci par-là que le roman donnait dans le sado-maso, et alors là grosse déception (non pas que j’attendais beaucoup de cela !!!! non mais) mais j’imaginais tout autre chose. C’est quand même très soft et édulcoré.
Je ne vais pas nier pourtant que je suis très vite entrée dans le roman et malgré le manque d’originalité de certaines scènes, je ne pouvais pas le lâcher. Et je sais très bien que je lirai les deux autres tomes !
Ce n’est pas pour me justifier mais parfois j’ai besoin de lire un peu autre chose pour me vider la tête et tout particulièrement en ce moment. Ce roman est donc tombé à pique !
Attention! Chronique avec des gros mots et du sexe à l'intérieur!
C'est donc l'histoire romantico-érotique entre une vierge naïve et un sado-masochiste.
Elle, c'est Ana Steele, une étudiante en lettres, admiratrice de Jane Austen et de Thomas Hardy. Mais, sa grande connaissance des auteurs classiques n'a aucune incidence sur son vocabulaire, à moins que "Waouw" et "Putain de bordel de merde" ne datent de l'époque victorienne...A part cela, Ana rougit beaucoup, est belle à tomber et n'a jamais connu l'amour. Elle est donc chamboulée le jour où elle rencontre le beau Christian Grey
qui éveille en elle des sentiments amoureux et une puissante envie de se déniaiser. Sa conscience lui dit de rester sage mais sa déesse intérieure la pousse à céder. Cruel dilemme!
Lui, c'est Christian Grey, un homme d'affaires riche et sexy. Il est à la tête d'une multinationale, pilote son hélicoptère, collectionne les voitures de luxe, vit dans un somptueux appartement. Il a un profil parfait, les cheveux cuivrés, des mains de pianiste, le regard gris ardoise, la voix veloutée et tous les pantalons lui tombe délicieusement sur les hanches.
Pour un tel homme, chaque femme sur la planète verrait sa déesse intérieure faire des cabrioles en tenue d'Eve! Oui mais voilà, la perfection n'existe pas et le beau Christian cache un terrible secret : le sexe ne l'intéresse que dans le cadre d'une relation SM. Il aime dominer et cela ne s'arrête pas au sexe! Sa soumise doit signer un contrat où elle accepte d'obéir à ses règles dans des domaines aussi variés que l'alimentation, la mode, le sport.
On voit bien que c'est compliqué pour la jeune Ana. Sa déesse intérieure n'est en rien refroidie par le contrat mais sa conscience rechigne à accepter ces goûts sexuels audacieux. S'ensuit une longue hésitation : J'ai peur de souffrir mais je ne veux pas le perdre. Mais elle a beau se questionner et remettre toujours à plus tard la signature du contrat, il n'empêche qu'elle a déjà eu droit à tout : du sexe, des fessées et un passage dans la "salle de jeux" de Monsieur SM! Alors à quoi bon tergiverser? Surtout que Christian Grey est un Dieu au lit! Certes, il ne fait pas l'amour, il baise mais il baise bien, beaucoup, longtemps, aidé en cela par un membre aux proportions avantageuses et des érections prodigieuses. Ajoutons à cela qu'il consacre une partie de sa fortune à lutter contre la faim dans le monde et chaque femme un tant voudra le rejoindre à Seattle! Trop tard! Ana Steele est sur le coup!
Une jeune héroïne un peu naïve et un homme qui cache de profondes blessures réunis pour une histoire passionnée où se mêlent sexe et sentiments, voilà les ingrédients du best-seller qui a fait frémir les ménagères de tous les pays. Pourtant, c'est mal écrit, mais c'est aussi terriblement addictif! Je m'y suis laissée prendre moi aussi. Ma conscience dira de fuir cette lecture ridicule mais ma déesse intérieure toute émoustillée vous encourage à vous faire votre propre opinion.
Que dire... A part que je ne comprends pas l'engouement pour ce roman: c'est mal écrit, l'histoire est d'une banalité affligeante et les personnages manquent d'intérêt. Ana a une certaine tendance à la schizophrénie, elle hésite entre sa conscience et sa déesse intérieure et à part rougir toute les 2 pages et se mordre la lèvre toutes les pages elle ne fait pas grand chose! Quand à Mister Grey lui il est atteint de névrose et cherche à tout contrôler. Il est limite borderline!
Les scènes soit disant BDSM sont sans intérêt, l'auteure aurait du lire Sade, cela lui aurait donné
des idées.
Bref, 50 nuances de Grey est un produit purement marketing dont l'histoire aurait pu être éditée par Harlequin!!!
Je me suis dit qu'il fallait que je le lise ce roman pour me faire ma propre opinion. Niveau écriture, c'est en dessous de 0. Des dialogues qui sonnent creux, les pensées de l'héroïne Anastasia en italique tout au long du récit complètement stupides ( " qu'il est beau " , " comme il est beau " , " mais il est tellement beau " ...c'est bon on a compris ). Une héroïne tellement naïve qu'elle en est limite idiote. Pour le reste, des scènes de sexe quasiment à chaque page et l'auteur qui essaye de rendre son récit intéressant en donnant à Christian Gray un passé ombrageux, sombre, à découvrir certainement dans le tome 2 mais ce sera sans moi.
J'ai décidé de lire ce livre du au fait que tout le monde en parlait et je ne regrette pas. L'histoire est sympathique et se lit facilement, les scènes SM restent très soft, Anna est loin d'être très soumise ce qui m'a particulièrement plus, et la fin m'a vraiment décidé à embrayé sur la suite. Mais au final cela reste une histoire d'amour comme tant d'autre.
Beaucoup de battage pour une histoire à l'eau de rose, assortie d'un peu de sexe, sommes toute répétitif, nous sommes vraiment loin des 50 nuances promises...
A la lecture de ce roman, on pense forcément à Twilight (pour les deux personnages principaux) et à l'Amant (pour l'éducation sexuelle de la jeune vierge par son amant). Rien de bien nouveau donc mais on se laisse prendre par le style de l'auteur. Concernant, les fameuses scènes de sexe, certes torrides, sont bien là mais pas en si grand nombre et surtout au final assez soft (n'allez pas croire que mes pratiques personnelles sont d'un niveau supérieur, quoique... ça ne vous regarde pas !!!). Après avoir donc entendant tout et n'importe quoi au sujet de ce livre, je confirme ma pensée que l'avis du lecteur lui est strictement propre. Donc pas de coup de coeur pour moi mais un bon moment de lecture avec un livre qui se laisse dévorer. Je lirai donc les deux tomes suivants par plaisir de découvrir la suite des aventures olé olé de nos deux protagonistes auxquels on finit par s'attacher.
Il y a des lectrices de romance qui ont détesté 50 Shades, d'autres qui l'ont adoré. Moi, j'ai bien aimé, sans plus. Ce livre souffre d'un "sagging middle", mais le début et la fin ne sont pas mal. L'histoire est super classique, voire cliché, mais fonctionne toujours. Quant à l'irruption du BDSM là-dedans, c'est à la fois semi-original, et pas choquant pour un sou... que les fleurs bleues se rassurent.
Au passage, je trouve l'appellation "mommy porn" stupide et avilissante pour les femmes ; le contenu de ce livre ne mérite pas cela. Quant aux personnes qui trouvent cela mal écrit,
je les engage à m'envoyer leurs propres manuscrits, afin que je puisse me délecter de leur style sans faille et de leur supériorité si éblouissante. (Ceci n'est pas une blague.)
J'ai acheté ce bouquin pour ne pas être la seule idiote à ne pas l'avoir lu ! Je voulais savoir pourquoi il y avait un tel engouement et j'ai compris.
Déjà en ce qui concerne le "sado/mazo" dont j'avais peur c'est trés soft donc pas choquant. De plus la jeune femme n'est pas aussi soumise que ce qui est dit, loin de là
L'intérêt principal c'est qu'il y a une vraie histoire derrière tout cela et trés intéressante de surcroit. Je l'ai lu en 3 jours.
Certes il n'est pas trés bien traduit et il y a quelques fautes d'orthographe et de syntaxe mais malgré tout j'ai trouvé l'histoire
presque passionnante. La fin me donne vraiment envie de lire le second mais n'étant pas bilingue je vais devoir attendre début Janvier !!!
Pour ma part, la déception fut grande. Vu ce que j'avais précédemment entendu, je m'attendais à du sulfureux, de l'érotisme, de la surprise à chaque page. Rien, strictement rien qui a satisfait de près ou de loin mes attentes.
L'intrigue est tellement simple qu'elle peut se résumer en une phrase : une jeune vierge effarouchée rencontre un homme qui a des pratiques sexuelles déroutantes et s'initie aux choses de l'amour en sa compagnie. Point barre. Dans ce premier tome, vous n'en saurez pas plus. En bon premier volume d'une trilogie, Cinquante nuances de Grey pose les bases de l'intrigue,
intrigue qui se résume à une relation plus sexuelle que sentimentale, et tente d'appâter le lecteur avec des scènes de sexe à toutes les pages ou presque. Au début ça prête à sourire. Au fil des pages, on se dit que l'auteure aurait mieux fait de se cantonner à un documentaire sur les nouvelles pratiques sexuelles sans s'encombrer d'une intrigue archétypale et éculée.
Malheureusement pour E.L. James, je suis certaine que son roman choquera moins le lectorat français par ses descriptions détaillées et croustillantes, que le lectorat américain. N'oublions pas notre passé littéraire, avec la décadence du libertinage, fin XVIIIe, qui nous a enseigné des pratiques retorses avant l'heure, dans un langage plus châtié et imagé, avec des personnages et des situations romanesques hautement plus hauts en couleurs.
Les personnages sont d'une platitude affligeante. L'héroïne est une naïve empotée, sa meilleure amie un sex-symbol à qui tout réussit, Christian Grey un milliardaire avide de pouvoir et de domination, etc. Bref, du déjà-vu.
L'auteure a pris le parti de charger Anastasia de la narration. Mais cette narration à la première personne plombe le roman et lui confère une tonalité naïve et mièvre. L'inexpérience de l'héroïne suinte à chaque page et devient risible à chaque nouvel acte sexuel.
Enfin, E.L. James, si elle a voulu faire sensation avec des descriptions d'actes sexuels, a dû oublier de soigner sa plume. Elle aurait mieux fait de se concentrer sur ce détail car même les scènes de sexe, primordiales dans une intrigue sans saveur, sont d'une platitude affligeante et semblent tout droit sorties d'un scénario de film porno (si tant est qu'il y ait un scénario dans un film porno). Du descriptif, aucune image. C'est plat, affreusement plat et ennuyeux.
Bref, un mummy porn aux États-Unis peut-être, mais rien de bien affriolant ni de bien scandaleux pour nous. Un tapage médiatique immérité pour un roman aux qualités littéraires inexistantes. Des scènes de sexe qui n'ont même pas le piquant d'une littérature érotique de qualité. Une réception par le lectorat français dont j'attends des nouvelles.
Si vous avec envie de vous encanailler, plongez-vous plutôt dans le scabreux Justine de Sade ou le très sensuel L'Amant de Duras !
Bonjour tout le monde, voilà j'ail lu ce livre car j'ai entendu beaucoup de bien de lui et de son auteur et je vient de le finir il y a à peu près 1heure, sachant que je l'est commencé avant hier, il est captivant, on entre directement dans l'histoire, juste la première page on ce dit que c'est bien écrit, je dit sa car j'aime énormément la construction des phrase et des actions aussi et dans cinquante nuances de GREY il y a de tout sa.
J'ai envie de dire bravos à l'auteur, je ne suis pas du genre à lire ce genre de livre et pourtant je vient de commander le tome 2 et 3 car je suis
presser de lire la suite, j'ai envie de dire à l'auteur que vous êtes la perle des mots, BONNE CONTINUATION, je continue de vous lire avec impatience.
J'ai lu ce livre par curiosité. J'en avais entendu parlé à la radio et sur internet et j'avais envie de savoir si les critiques étaient justifiées, notamment sur le caractère porno du livre.
Très franchement, on est loin de ce qualificatif. Je pense qu'il est plus juste de parler d'érotisme. Sur 550 pages, seules 2 scènes sado-maso sont décrites. Cela laisse beaucoup de place pour aborder d'autres sujets.
Mais mais mais, je croyais que c'était sado-maso ? Point du tout ! C'est érotique, peut être un peu plus mais à peine pornographique, et bien loin du sado-masochisme !! Certes Miss Anastasia est par deux fois fessée, à chaque pénétration immobilisée par les mains, mais C'EST TOUT !! Poit de description graveleuse, point de sexe cru ou détaillé...
Alors messieurs-dames les prudes, plongez vous dans ce livre, il n'y a pas grand chose de choquant, juste une jeune femme amoureuse d'un jeune homme mal dans sa peau et qui envisage d'accepter un contrat sexuel dont elle réduit énormément
les pratiques sado-masochistes. En somme, par amour, cette jeune demoiselle accepte d'être dominée... Mais est-on vraiment dominée lorsqu'on feint la domination pour satisfaire l'être aimé ?
En somme, déception quant aux scènes de sexe, franchement trop peu poussée mais éblouie et enchantée du phénomène littéraire. Aujourd'hui, au XXIe siècle, à l'ère de l'informatique et de la consommation rapide et instantanée, un livre a suscité un (petit) baby boom, s'est vendu à des millions d'exemplaires, a déchaîné les foules comme un premier jour de soldes, a remplit nos librairies désertes, a fait veillé des lectrices la nuit... En tapant youporn sur le web, on a le même résultat, on se passe de 3 heures de lecture, on économise 17 euros, et pourtant, des millions de gens on choisi le livre, on choisi l’excitation par les mots, c'est très bon signe pour les amoureux et professionnels du livre. Je dis BRAVO
C'est après avoir lu un livre d'une auteure inconnu, Angela Behelle, qui défrayait les blogs de lecture pour "Qui de nous deux?" - les lectrices s'écharpant en direct !-, que j'ai enchaîné avec Fifty...après tout, quitte à lire du porno, allons-y !
Et bien, c'est la française qui m'a bluffée finalement. Fifty est bon, dans le sens où l'érotisme recherché et la montée en puissance existent bien mais cela reste un roman et l'écriture compte aussi ! J'y ai trouvé quelques faiblesses y compris dans le traitement d'une histoire...connue à l'avance !
Toutefois, pour une première
approche, je comprends le carton qu'il fait actuellement car pour les non intiées, c'est chaud quand même...et après tout, où est le mal à suivre la tendance ? Donc je dis oui à Fifty Shades of Grey, na !
Anastasia est une jeune fille qui est maladroite au possible. Toutes les gaffes, elle va les faire. J'avoue avoir pas mal rigolé toute seule devant cette catastrophe ambulante. Cependant, elle n'est pas aussi stupide. Au contraire, je la trouve intéressante et comme Grey, je suis plus attirée par elle que sa meilleure amie (Kate), archétype de l'américaine, aisée, belle et presque parfaite sur le plan intellectuel. Anastasia n'est pas non plus si prude que je ne l'aurai cru. Elle franchit les barrières assez facilement, bref, elle l'a dans la peau ce Christian. Elle découvre tout avec
lui (sur le plan sexuel) et en quelques jours, il est certain que sa vie bien rangée bascule.
Grey, Christian de son prénom, est un personnage que j'aurai bien remit à sa place si je l'avais croisé. Il est presque trop parfait ! Mais sa véritable personnalité est plus complexe qu'il n'y parait. Avec lui, c'est le chaud et le froid sans arrêt. Finalement, je ne sais pas ce que j'aurai fait à la place d'Anastasia, mais il est troublant.
Il n'est pas aussi extrême non plus qu'on a bien voulu nous le faire croire dans la presse (pour ce que j'en avais lu). Il est instable certes, mais pour le reste…
Je m'attendais à une intrigue peu ficelée et au final, même si c'est cousu de fil blanc, l'auteur prend le temps quand même de mettre en place un cheminement qui se tient presque. Je dis presque parce qu'évidement on sait que l'on est dans de la fiction. Mais cela fait du bien aussi d'oublier tous ses soucis du quotidien pour suivre les péripéties de ces personnages trop stéréotypés.
Choquée ? Je ne l'ai pas été. De plus, je trouve que ce n'est pas aussi SM que cela. L'auteur nous offrirai même plutôt une découverte sot de cette manière de vivre sa sexualité.
Crier au scandale ? Certainement pas pour si peu. Lire un texte explicite en la matière n'a rien de dégradant.
On parle beaucoup dans ce livre d'attirance, d'électricité entre les personnages, d'une alchimie qui s'opère et pour être franche dans la vraie vie, c'est aussi comme cela que cela fonctionne. C'est l'instinct, c'est notre part animal quoiqu'on en pense. Je trouve donc que l'approche de E. L. James se tient parfaitement.
Et pour en revenir au style d'écriture, certes, on peut en convenir, ce n'est pas digne de l'Académie française, mais j'ai lu bien pire aussi. C'est un roman que l'on lit pour se faire plaisir, pas pour se creuser les méninges. Une lecture détente qui vaut largement un programme plus que médiocre à la télévision sauf que là on est un peu plus actif d'un point de vue cérébral à mon sens.
Les scènes de sexe sont bien décrites. Pas trop de détails, juste ce qu'il faut pour que l'imagination fonctionne à plein régime, bref, une écriture bien dosée.
le livre aux yeux des critiques ne serait pas super super..., mais il vaut mieux lire quelque chose de moyen que de ne pas lire du tout!
toutes les occasions devraient être valoriser pour faire découvrir le plaisir de lire!
"Quand vous avez acheté ce livre; vous n'avez qu'une envie c'est de faire l'amour avec votre mari" dixit une blogueuse Américaine. Et bien quelle promesse!! Après lecture, effectivement, je confirme.... Désir, jouissance, érotisme, mais aussi histoire d'amour. Ne vous laissez pas effrayer par le côté porno, cela reste un livre grand public.
Messieurs, un excellent cadeau à faire à votre femme!
Que du bon pour cette rentrée
Tous les ciseaux d'Anastasie sont gris.
Il y aurait donc les « bons » livres d'un côté, et les "mauvais" livres de l'autre, le nombre de vente de ces derniers étant inversement proportionnel à leur qualité littéraire ? Un « bon » livre est peut être celui que l'on prend plaisir à lire malgré ses imperfections, on y passe un moment de détente, loin des contingences, on atteint une forme de sérénité, oubliant qu'on a un cerveau, ou le mettant en repos, ne serait-ce que pour quelques minutes, rien que ça, mettre en pause cette noria à méninges, ce flux incessant de gamberge qui peut parfois vous entraîner jusqu'aux affres de l'insomnie, rien que pour cette merci, ce genre de livre a toute ma reconnaissance.
Cette romance entre Grey et Anastasia correspond parfaitement à l'image que je peux me faire de celles que l'on trouve dans les myriades de romans qu'écrivent Barbara Cartland et ses consœurs. Un beau millionnaire et une jeune étudiante, vierge de surcroît, sommes-nous vraiment au XXIe siècle ? N'ai-je pas entre les mains un ouvrage de science-fiction ? C'est très basique, sous des oripeaux de complexité sentimentale, c'est écœurant à un tel point que cela en devient réconfortant, c'est comme se bourrer de chocolat ad nauseam ; et le livre est même parfois drôle, n'en déplaise aux grincheux, qui n'aime pas rire ? L'improbable fait rêver, pourquoi pas. Le mystère de l'attraction livresque que l'on éprouve réside aussi dans son côté redondant, routine dans la répétition d'expressions maladroites, voir triviales, resservies à longueur de pages (l'éditeur a du s'assoupir en route),un petit élagage n'aurait rien retirer à la « qualité » de l'ensemble. Combien de « oh mon dieu », « oh putain » ou de « déesse intérieure » aurait-on pu supprimer, faisant du même coup un geste pour l'écologie planétaire ? Mais la romancière a peut-être été payer à la ligne comme nos feuilletoniste du XIXe ? Les dialogues inutiles auraient donc une utilité économique, même s'ils alourdissent l'ensemble ? Ou bien est-ce une touche de féminité – j'ai toujours penser qu'il me faudrait plusieurs vies, comme les chats, pour « tenir » face aux insatiables babillages féminins – dans ce qui est, après tout, un livre pornographique. Les scènes de sexe s'y multiplient sur le même mode opératoire que les dialogues, le but est bien de provoquer une forme d'excitation, ou d'énormes bâillements, c'est selon. Alors pourquoi ne balance-t-on pas l'ouvrage à travers la pièce, en hurlant de dépit, usant de cet argument critique implacable, bien qu'un peu usé, « mais c'est de la merde ! » ? Y aurait-il un discours sous-jacent, inscrit en creux, et qui opérerait sa magie, insidieuse et fascinante, sur nous pauvres lecteurs ? Le livre est-il imprimer sur une matière aux propriétés addictives, nous flinguant quelques neurones au passage, comme le fait toute bonne bière digne de ce nom ? Ne reculant devant aucun sacrifice, afin de parvenir à répondre de cette fascination, je m'apprête à présent à m'enfiler le deuxième tome.